jeudi 28 juin 2007

biz biz

Un jour, faudra bien que les moustiques se fassent à l'idée que je ne suis pas un buffet à volonté.



... définitivement, le motif à pois ne me sied pas à merveille...

mardi 26 juin 2007

Enfin!!

mon amour est officiellement devenue mon compagnon de vie plate!!
c'est trop génial, je l'adore trop mon amour!! (j'ai vraiment l'air d'une adolescente surexcitée lorsque je parle de mon amoureux, moi...!) En plus que -comble de joie pour une possessive comme moi!!- il a déménagé à même pas deux minutes de marche de chez moi!! C'est-ty pas fantastique, tout ça??

Sinon, j'ai un message d'importance d'envergure capitale à laisser à Dame Nature:
Vous ca*** de moustiques, je ne sais pas pour vous, mais moi, ils commencent vraiment à me taper sur les nerfs. Je ne sais pas, je dois vraiment avoir un sang appétissant, mais quand même, retenez-les!! Je me fais tellement piquer qu'à force, je suis certaine que d'ici la fin de l'été, je vais me taper une anémie par manque de sang, ç'a pas de bon sens!!

vendredi 22 juin 2007

Post inutile, s'il en ait un.

Bon. J'avoue ne pas avoir de vie. Ou en tout cas, le peu que j'ai n'est pas très palpitante pour le reste de la planète (être en amour a pour effets secondaires de répéter 32 fois la même chose et d'être super heureuse, ce qui, par conséquent, fait chier le reste de la planète... :D)

M'en tout cas. Le problème est que, malgré le peu de vie que j'ai, quelque chose doit bien me stresser en quelque part, puisque, voyez-vous, je ne suis plus capable de fermé l'oeil depuis un bout déjà. Je reste les deux yeux grand ouvert jusqu'à des 2, 3h du mat' et bon, le lendemain, j'ai la vague sensation d'être un cadavre à cause du manque de sommeil.

Ces derniers temps, beaucoup de choses m'ont préoccupé, ce qui explique peut-être ma jolie et sympathique insomnie. Mais là?? bon, y'en encore l'école, comme toujours. Mais c'est peut-être aussi parce que je rencontre pour la première fois mes beaux-grands-parents? (et par le fait même, le premier membre de la famille de mon amoureux)

Trouillarde comme je suis, je suis dans le fond persuadée que c'est à cause de ça. Ou à moins que ce soit parce que ça fait un mois que j'ai constamment des trucs à faire? Je ne me considère pas sous pression, mais j'avoue être un peu en manque de moi-même ces temps-ci. Je donne la tête partout sauf chez moi...

Enfin, maintenant que j'ai pas mal radoté, je vais essayer à nouveau de dormir, là...

jeudi 21 juin 2007

Question: Comment ai-je réussi à m'assommer avec mon ordinateur?

Réponse: je me pose aussi la question.

Trop de doutes...

pourraient ruiner la plus belle des relations.

mercredi 20 juin 2007

Question: Qu'est-ce que je dessine tout le temps, ces temps-ci?

Réponse: De vieux monsieurs à moitié chauve, souvent bedonnant, aux regards grincheux. Si jamais quelqu'un pense que je dessine juste ça parce que c'est mon fantasme, je l'assomme, gna!

Ceci dit, après ne pas avoir dessiné pendant près d'un an, je recommence tout doucement à réapprendre la technique que j'avais perdue au fil du temps. Je ré-apprivoise le mouvement, mais pour ce qui est du réalisme, chaque chose en son temps!

mardi 19 juin 2007

Antoine

Tout les soirs, Antoine se couchait, triste. La vie n’avait plus rien à lui offrir. Le chant des oiseaux ne lui semblait plus que le grincement d’une porte qui se ferme, le bleu du ciel, une bouche qui vous avale et la nuit qui tombe, un cercueil que l'on met en terre.

Bref, Antoine était vieux.


La chute sera terrible...

-La chute sera terrible, mon Président! Ils sont à nos portes, nos agents ne pourront pas tenir plus longtemps, tout va s’effondrer... Le pays est à feu et à sang, mon Président! il faut fuir, mon Président! Le peuple vous veut!

-Mais pourquoi font-il cela? N’ai-je donc pas été un bon dirigeant pour eux?

Sur cette phrase, le chef de la sécurité ouvra et ferma la bouche, imitant les poissons. Un bon dirigeant, bonne question…

Il faut savoir que depuis que le peuple avait élu de manière quasiment démocratique le Président, il y a 3 ans, les choses ne s’étaient pas exactement améliorées. Plutôt le contraire, même... On aurait pu faire pire, il est vrai, mais pire aurait été copier Adolf et son régime. Heureusement, on ne s’était pas rendu jusqu’à là, mais…enfin, la différence ne se voyait pas à l’œil nu, quoi.

Puisqu'il est 2h 12 du mat'

et que je ne suis pas foutue de dormir (comme d'habitude ces temps-ci...), j'ai décidé de retaper une photo de moi complètement pô belle et en faire quelque chose... de pas vraiment plus joli. (au moins, les couleurs le sont -jolies- maintenant! gna!) J'ai trop un baby face épouvantable, mouah...! (et les lèvres gercées...)

Étudier en littérature peut affecter le cerveau.

Si, si, vraiment! À force d'analyser constamment des nouvelles, des livres, des poèmes, etc, on finit par avoir des effets secondaires. Genre: découvrir que l'on peut faire un paquet de figures de style dans un seul petit et innocent message texte. -en tout cas, moi je le peux-. résultat, j'ai vu un oxymore, deux litotes, une gradation et un blanc textuel. Non mais, c'est-ti pas fantastique, tout ça??!


... Ah?... vous vous en foutez complètement? zêtes certain? même pas un peu? ah?


(pis en plus, blogger me dit qu'"oxymore" n'existe pas! ça parait qu'il n'a jamais fait de l'analyse littéraire, lui!!)

lundi 18 juin 2007

Les bibittes m'aiment.

Moi, ces temps-ci, les bibittes m'aiment, allez savoir pourquoi. La preuve la plus flagrante?? Je suis littéralement couverte de piqure de moustique. Je ne vous dis pas la fièvre de grattage qui survient le soir quand le stress tombe et que je commence à sentir et écouter les messages que me dit mon corps. Aïe, aïe, aïe. Ça PIQUE!!! voilà ce qu'il me dit. Heureusement qu'il existe des analgésiques externe... Je suis en train de devenir dépendante de ces petits gels-là, je crois, je les utilise tout le temps pour calmer mes démangeaisons moustiquienne.

Ensuite, autre raison pour que les bibittes m'aiment? Ben, j'ai rêvé à plusieurs reprise à des fourmis durant la nuit. Je ne me souviens pas trop dans quel contexte j'ai vu ces insectes, mais je me souviens les avoir vu dans quelques uns de mes rêves. Le dernier est le plus désagréable:

J'ai rêvé que je me faisais voler mon livre que j'étais en train de lire par des fourmis. J'ai voulu ensuite chercher des gugusses contres les fourmis (vous savez, ces petites boîtes rondes?) afin de les tuer et de récupérer mon livre. Mais voilà-ti pas que les trucs afin des les exterminer sont des espèces de bandes de papier avec plein d'aiguilles dessus. C'est ça les trucs pour tuer les fourmis?? Résultat, je me suis piquer les doigts. Et je me suis réveiller. Résultat, je ne sais même pas si j'ai récupérer mon livre...

On a de ces rêves bizarres, des fois, je vous jure...!

jeudi 14 juin 2007

Quoi cé que moi j'écoute tout le temps, ces temps-ci??

le dôme de Jean Leloup. Mais attention! pas le cd... juste la chanson! vingt-quatre sur vingt-quatre...!!


malgré le fait que ce soit un des meilleurs chanteurs québécois, Jean Leloup est vraiment laid... :P

Quand un vrai mâle fait du sport...

... ça ressemble à ça!:

"bouah!...

.... j'veux pas me lever pis aller travailler, chuis trop claquée. J'veux juste me recoucher et attendre que mon amour revienne du travail pour qu'on puisse dormir ensemble..." dit-elle, fatiguée, après avoir passé une nuit presque blanche et s'être fait réveiller par les petits voisins de deux-trois ans psychopathes qui hurlaient et hurlaient et hurlaient... à 7h du matin.

Bon, là, là,

Ça ne va plus. Mais, Plus. Du. Tout. Oui mes amis (car, oui-oui, Ami Lecteur, j'ai le malheur de t'annoncer que tu es mon ami! oui, je sais, ne pleure pas, ça va passer... ) Donc, je disais quoi, moi? Ah oui!, je disais: "oui, mes amis". Donc, OUI, mes amis, je ne vais pas bien. Du tout. Vraiment pas. Non, non, n'essaie pas de minimiser la chose, je vis un drame, là, maintenant, tout de suite, à l'instant même. C'est une horreur! Que dis-je, une honte! C'est un cataclysme déclenché par un beigne. Une minuscule, fragile, vulnérable, ô combien innocente petite rillette au miel! Quelle trompeuse, que dis-je, quelle hypocrite, celle-là!

Alors là, Ami Lecteur, tu te demandes: "mais qu'est-ce que donc que cela? une rillette au miel peut-elle vraiment créer à elle toute seule une catastrophe digne d'une collision interplanétaire dans mon système solaire à moi de même?" Aaah... ben, faut croire que oui. Car -hélas- je ne dors pas. Les deux yeux grands ouverts! L'esprit vif, acharné, travailleur! Le coeur qui bat! (quoique ça, ça vaut toujours mieux...)

Je. Ne. Dors. Pas! Allons, je sais. Ne pleurez pas tous en même temps, il n'y aura plus assez de mouchoirs. Ne vous inquiétez pas! Je vais survivre, je suis fait forte, ne suis-je donc pas incroyable-fantastique-superbe-et-magnifique? Tout cela en même temps, en plus d'être ultra-modeste (c'est d'une évidence.)!! Je vais m'en sortir, je le sais, je n'en doute pas une seule seconde et encore moins un soixantième de minute.

Bon. Pour remédier à ce drame épouvantable que, oui-oui, je vis, je vais faire une cent-vingt-cinquième tentative et me recoucher. Ayez confiance! gardez espoir! je vais bien finir par m'endormir!... Sinon, je m'assomme avec un mur, je suis certaine de dormir. à moins que je me manque et que j'aie une méga bosse sur le côté gauche de mon front (car, bien sur, il n'y aurait que le côté gauche qui pourrait avoir un hématome. Sinon, ça ne serait pas esthétique, franchement...).




... j'prendrais bien un ti-beigne au chocolat et noix de coco avant d'aller me coucher, moi.




mmm, un ti-beigne...



(faire de l'insomnie et écrire un post est rarement bon pour le 'sujet' dudit post...)

mercredi 13 juin 2007

Pute

Le cadran indiquait 21 heures. Un peu tôt pour un dimanche soir. Je sors de ma chambre insalubre, miteuse, aux odeurs vagues de moisissure. Une chambre où l’humidité suinte des murs. Autrement dit, tout ce qu’il y a de plus accueillant pour une putain. Je suis en manque. Ma chambre quittée, des étourdissements me prennent. Mes genoux tremblent. Je m'adosse aux murs du corridor, essayant de reprendre mon équilibre. Je suis vraiment trop en manque. Mes veines crient leur carence. Il faut que j’aille m’en acheter. Il faut que je me fasse un client. Là, au plus vite. Pour l’argent. Pour la dope.

Je reprends mon souffle. Il faut que je sois un peu présentable, au minimum. Pour attirer quelqu’un. Sauf que, je sais pertinemment qu’un client vraiment en manque prendra toujours n’importe quoi. Pourvu que ça satisfasse ses désirs. Mais je me peigne quand même les cheveux dans le miroir de l’entrée. On a beau être pute, on est quand même coquette.

Je marche dans la rue. Je me dandine le cul. Il me faut un client au plus vite. Du cash. Et de l’héro pour mes veines. Je m’arrête à un stop. Il y a d’autres filles qui sont là. J’en connais certaines, d’autres sont des nouvelles. Je m’informe si l’un de mes contacts est dans le coin. Burn n’est pas loin. Il sera sûrement encore là, après.

Je regarde les nouvelles. Elles sont encore toute fraîches, pleine des illusions de leur pimp. On commence toujours en amour. Mais la réalité finit toujours par nous rattraper. Et l’horreur. Et le désespoir. On finit par avoir la claque des illusions en pleine gueule. Fatalité.

Je les entends parler entre elles. Ce sont des vierges. Encore aucun client. Mais justement, une auto s’arrête près de nous et embarque l’une des nouvelles. La première fois c’est toujours comme si ton monde s’écroulait. Et la claque qui vient. Pis en pleine face.

J’attends encore quelques minutes. Se dandiner le cul ne me réchauffe pas plus que ça. C’est drôle à dire mais, l’hiver j’ai toujours hâtes de me faire embarquer. Un peu de chaleur sur ma peau. À défaut d’être de la chaleur humaine, j’ai celle de la ventilation.

Le voilà, mon client. Une Honda rouge. Il est bien habillé, complet-cravate. Il doit être de ceux qui ont femme et enfants mais qui ont des fantasmes si pervers qu’il n’ose pas les avouer à leur bonniche de femme. Je ne les aime pas. Eux, ils se contentent rarement d’une pipe. Ils en veulent plus. Beaucoup plus.

J’embarque quand même, l’appel de l’héro est plus fort que tout. Il ne me parle pas Il ne me regarde pas. Je n’ose lui demander où il m’emmène. Ni ce qu’il veut.

Un motel. Aussi miteux que ma chambre. Il ne dit toujours rien.

Je le suis, sans rien dire. Je passe ma main dans mes cheveux, nerveuse. Sa démarche, son air, je ne sais pas. Il me fait peur. Je n’avais pas bien remarqué dans l’auto, mais maintenant qu’il loue la chambre, je commence à sentir ces frissons glacés me parcourant l’échine. Par expérience, je sais que mon intuition me trompe rarement. Et ces frissons m’indiquent le pire.

Puis, je ne sais pas pourquoi, malgré l’appel de l’héro dans mes veines, je ne veux plus rester. Tandis qu’il paye la chambre, je retourne sur mes pas, marchant le plus rapidement possible. Sans me retourner.

J’atteins le stationnement quand, soudain, je le sens qui m’attrape le bras d’un geste brusque. Il me le broie. Je n’ose crier, mais un soufflement rauque s’échappe de mes lèvres. J’essais de me dégager, mais il est plus fort que moi. Il m’entraîne dans la chambre.

Arrivé à la chambre, il me jette sèchement sur le lit. Angoissée, je pousse un hurlement aigu. Il part à rire et me dit de continuer, qu’il aime ça, les salopes qui crient. Tant mieux, car je ne peux plus m’arrêter. La rage s’empare de moi et je me mets à hurler, à me débattre, à mordre.

Il me roue de coups, me lance sur le mur. Je cesse de crier.

Tout tourne, je suis complètement assommée, à sa merci.

Je suis un corps flasque, je sens mon sang couler sur mon visage, le long de l’arrête de mon nez. Je ramasse le peu de force qui me reste et l’essuie. Il s’est assis sur le lit, me regarde. Une lueur perverse traverse son regard.

Je suis avachie sur le plancher. Je me redresse sur mon coude, écartant de mon visage les mèches de cheveux rendues visqueuses par le sang. Ma bouche est sèche mais je lui crache à la figure de prendre ce qu’il veut et de décâlisser.

Il se lève et s’approche de moi. Il s’agenouille à ma hauteur, me prend le menton et m’embrasse violemment avant de me foutre une baffe en pleine gueule. Je ne sens plus ma joue gauche. Je ne comprends plus. Je ne me débats plus. Qu’est-ce qu’il veut?

Il se relève et me fout un coup de pied dans le ventre. Il continue à me battre.

Lorsque je ne suis plus qu’un corps inerte, ensanglanté, il me couche sur le dos et me déshabille. Puis il enlève son pantalon. Il s’étend sur moi. Je n’ai plus la force de le repousser.

Il commence son va-et-vient brutal en moi. Je gémis faiblement de douleur, tourne la tête de côté, je ne veux plus le voir. Mais je suis pute et j’endure.

Soudainement, il m’enserre la gorge de ses mains, tout en poursuivant. Il m’étouffe, il m’étrangle.

Un sifflement sourd sort de ma gorge. J’essais, de mes dernières forces de l’en empêcher. Mais il est plus fort que moi. Ses doigts continuent de serrer ma gorge. Je sens mon souffle me quitter.

Il est en train de me tuer. C’était donc ça, son fantasme?

En quelque part, je m’en fous de mourir. Je ne vivais plus véritablement depuis longtemps. Mon âme était morte et mon client, lui, est juste en train de finir le travail.

Malgré tout, je ne suis pas si inoffensive que ça. Même s’il me tue cette nuit, je l’aurai quand même tué moi aussi. Mais d’une mort beaucoup plus horrible, lente et pernicieuse : le sida.

mardi 12 juin 2007

Portrait de mon moi intérieur.

Question: avez-vous remarqué à quel point un pied c'est laid??

Ben oui, quand ça s'écrase, on dirait une patte de grenouille ou d'un quelconque batracien rosé. Lorsque le pied est en suspension, la forme est délicate, élancée, les orteils bien rangés (en tout cas, les miens le sont).

Et lorsque le pied se pose, on dirait qu'il s'écrase. Il prend de l'expansion, les orteils s'éloignent les uns des autres de manières aléatoires. Surtout quand on a les orteils longs -comme moi- on dirait des doigts égarés.

Bref, un pied, c'est vraiment laid.
it's not my feet, les miens ont du vernis rose...!

jeudi 7 juin 2007

J'ai eu une augmentation de salaire...

... de *.**$!!...
...Ce qui me fait un gros **. **$ de plus par semaine!!

On ne rigole plus là, c'est du sérieux!! ;-P

suite à la censure de ma génitrice, il a fallut que je mettes des étoiles à la place des chiffres.
À quand la liberté d'expression??

mercredi 6 juin 2007

Je viens à peine de quitter mon amour pour la nuit...

... que déjà, je m'ennuie de lui. Je ne sais pas ce que j'ai depuis deux jours, mais je me sens misérable, pitoyable et vulnérable. Je me fait pitié moi-même, c'est vous dire!

J'ai froid dans le dos, et j'ai les orteils glacés. Il fait 19 degré dans ma chambre, c'est surement pour ça. Mais j'ai quand même envie d'avoir mon Asperge couché collé contre moi, dans mon dos, en cuillère. Ses bras m'entouraient et me sécurisaient, sa respiration me calmeraient.

Le ron-ron de son nez me rassurerait inévitablement et me ferait croire que les démons sous le lit y resteront tapis. Dans le fond, j'ai envie que mon amour soit là, à côté de moi, les bras autour de moi me soufflant dans l'oreille que tout est beau, que tout va bien. Je voudrais qu'il me chante La vie en rose d'Édith Piaf.

Je ne suis pas de ceux qui sont sujet aux crises d'angoisse, mais là, je me fais une sale crise de solitude, je crois.

guilty-guilty

J'ai été pendant 14 ans tous les dimanches matins à la messe. Et dieu seul sait à quel point la religion catholique a ce don extraordinaire de nous rendre coupable dans son enseignement. Juste à regarder la dernière campagne pour la collecte de fond de la communauté catholique de Montréal. (on voit Jésus-Christ crucifié avec, en dessous "il a déjà donné", afin de nous faire sentir cheap et de donner plein de sous)

Tout ça pour dire que, je sais même pas pourquoi, mais je me sens coupable. Dans le fond, je pense que je sais pourquoi. Je suis trop heureuse, et ce n'est pas normal. Bref, je sens la petite bête emmerdante qu'est la culpabilité me mordre la conscience. J'ai l'impression que je n'ai pas le droit, que ça ne se peut pas. Je ne peux pas être heureuse, si? C'est, euh... Pas normal...

.... Et puis, d'un coup que?... Dans le fond...

Le bonheur?... ça existe pas, si?... Ce n'est pas décent... Surtout que je le vis là-là... C'est pas normal, noon...?


eeeeeh...


J'ai trop le don de me pourrir ma fucking de vie toute seule, moi.

yeah.

dans le fond, je suis p't-être juste pas mal fatiguée aussi, pis que je m'en fait vraiment pour rien...

Bon, j'admet que je n'ai a-bso-lu-ment rien à dire, mais...

... mon amour est tellement chou!!

mardi 5 juin 2007

mon ami le ti-pod

À ma fête, on m'a offert un Ti-pod. Yeah! Justement, je voulais m'acheter un mp3 et on m'offre le chic du chic. Bref, je suis contente. Mon ti-frère m'installe le programme sur mon ordi et toute mes tounes apparaissent soudainement dans mon Ti-pod. C'est fantastique!!
Le problème est: comment je fais pour rajouter de nouvelles chansons? On dirait que rien ne marche. J'exporte, je glisse et je supplie tout les saints du ciel. Bref, j'ai tout essayé.
Mon message est alors le suivant: Comment on fait???? Comment on fait pour mettre de nouvelles chansons sur mon ti-pod adoré?? Parce que bon, franchement, j'aime bien le changement sur ce niveau-là. D'autant plus que mon amour m'a envoyé des chansons et j'aimerais bien les écouter!
Ti-pod est mon bébé, et pour l'instant, il est plutôt récalcitrant. Ami Lecteur! Aidez-moi à dompter cette bête féroce qu'est le Ti-pod en me disant comment faire!!

lundi 4 juin 2007

avez-vous déjà ressentis cette sensation?

celle de flotter sur un nuage, la tête gonflée tellement vous êtes heureuse? la tête sur le point d'exploser en petite bulle de bonheur?
Eh bien, c'est cette sensation-là que j'ai!