jeudi 24 juillet 2008

Nouveauté


J'ai un petit chaton!!! Qui grimpe dans le grillage de la porte-patio, qui bouffe tous les fils électriques et électronique de Caillou, grimpe sur la table aux moments innoportuns, s'amuse à se cacher sous le lit, à nous sauter sur les orteils à 2h du mat', à nous voler nos oreillers (noon, à moi!), à dormir sur nos claviers d'ordi, mais à ne jamais dormir la nuit, et s'il dort, c'est sur le rooter de l'internet ou sur la *fragile* bibliothèque qui menace de s'effondrer au moindre regard sous-entendu, à quêter comme un chien et à ronronner comme un bon au moins 50% du temps

On passe 50% de notre temps à le chicaner (Sacki, NON!!!) et 50% du temps à s'extasier sur sa mignonne petite bouille de monstre. Ci-haut, photo du monstre en question, j'ai nommé, Sacki, viril petit chaton monstrueux de 2 mois et demi.

jeudi 17 juillet 2008

Pantoute!

Le sypton, suite et fin du prologue

-Mais, mais les gens de la cour? De la ville? Que feront-ils?

-Plus tard, vous devez fuir! Le petit caporal prit le bras du premier Érudit qu’il trouva à sa portée et se dirigea vers la porte camouflée dans la pièce qui menait vers le tunnel secret qui reliait la Salle du Grand Conseil à l’extérieur de la ville. Il commença à actionner le mécanisme d’ouverture de la porte lorsque soudain, il y eu un grand bruit, suivit d’un silence. Puis un cri. La muraille du Palais Blanc avait été détruite, les envahisseurs marchaient maintenant sur la ville. Le visage du Grand Érudit blêmit. Il serra le petit objet cylindrique contre sa poitrine, marmonnant quelques paroles inaudibles. Un filet de bave coulait sur le bord de ses lèvres sèches et ses yeux, aux regards aussi innocent qu’un petit enfant cherchait un réconfort qui ne viendrait pas. Le Grand Érudit de la Glorieuse Vallée Blanche de Brass était complètement sénile et incapable de régner sur le plus important royaume d’Ephem. Alors qu’il était là, à chercher du réconfort, serra l’objet contre sa poitrine décharné comme un doudou, il eu un éclair de lucidité. Il chercha des yeux le plus jeunes des Érudits, Augustus. D’une démarche hâtive, il alla directement vers lui.

-Augustus, vous devez cacher le sypton! C’est ce qu’ils veulent, le sypton! Allez-y tout seul, nous resterons ici. Nous les retiendrons, nous les retiendrons loin de vous autant que nous pourrons, mais il vous faut absolument mettre cet objet en sûreté, loin de Phelter! Vite!

L’Érudit Augustus prit le petit objet cylindrique et le glissa dans la poche de sa veste. Il repoussa le petit caporal et actionna le mécanisme. Derrière lui, le Grand Érudit fit part de sa décision aux autres Érudits dans la salle. Ils se sacrifieront tous pour la sécurité du petit objet cylindrique. De toute manière, ils étaient tous au seuil de leur vie. Les gardes acceptèrent leur décision et se mit en position de défense, selon les ordres du petit caporal.

mardi 15 juillet 2008

Je adore que trop la webcam de Caillou.




et faire des faces bizarres.

...

Heureusement que je suis en couple, parce que ce n'est pas avec ça que je vais pogner!

héhé

J'adore les gens qui répondent à toutes mes questions indiscrètes.

Note à moi-même:

Je ne suis PAS l'incarnation sur le tard de Mère Tereza.

vendredi 11 juillet 2008

Maman! le vernis rose est (presque) finit!!!!


Malgré un talent plus que douteux pour le vernissage en mode rose de tout ce qui s'apparente à des ongles sur mon corps, couche après couche, je m'obstine à toujours me barbouiller plus.

Le sypton, avant goût

Le souffle court, l’Érudit Augustus avait les yeux exorbités, encore vêtus de sa chemise de nuit, les cheveux en batailles. Les autres grands hommes de la pièce n’étaient guère en meilleur état que lui. Réveillés durant la nuit, ils s’étaient tous habillés au milieu des fracas venant des batailles à l’extérieur des murailles. Des cris de gardes tués, les hurlements des ordres des lieutenants du corps de gardes, le bruit de la ferraille et des boulets contre les murs de la ville de Nimina, chaque parcelle du monde sonore était occupée par la bataille. Les Érudits, tous des vieillards, tremblaient devant la fureur des attaques. Ils se regardaient entre eux, ne sachant que faire, frémissant d’horreur à chaque hurlement. Un petit caporal de l’armé du Royaume de Brass fit soudain irruption dans la pièce.

-Mais… Mais… où est le général Forbio? Marmonna d’une voix tremblante le Grand Érudit, tournant nerveusement dans ses mains desséchées un petit objet cylindrique. Le petit caporal était accompagné d’un dizaine de garde du Palais Blanc.
-C’est les rebelles du Voile Noir, monseigneur, qui attaquent. Vous devez fuir vite, la ville tombera bientôt, les rebelles envahiront les rues. Je connais leur dirigeant, il n’a aucune pitié, il vous tuera tous, sans la moindre hésitation, vous devez fuir!

mardi 8 juillet 2008

maybe

Quand on veut s'endormir, bouffer du Nesquik à 4h 28 du mat' est rarement la meilleure solution.

ahem

avez-vous remarqué que stm (société des transport de montréal) ça faisait mts (maladie transmissible sexuellement) à l'enver? Ça explique sûrement le pourri du service de la stm, à mon avis...

lundi 7 juillet 2008

aaaaaaaa... TCHOUMMM!!

ah la vache, que ça sent la poussière ici... en même temps, il faut dire que j'ai oublié de mentionner que je suis en vacances... Pas en vacances du genre "voyages", niop, pas assé de moni. Mais, tout le monde le sait, les vacances étant les vacances, même si on reste chez soi et qu'on ne fout rien de la journée, la vie étant ce qu'elle est, on ne trouve quand même pas le temps de mettre à jour le blogounet adoré. Quoique, il faut dire aussi que je nage dans mon petit jus de bonheur, alors je n'ai rien à raconter. Donc, plutôt que d'annoner des platitudes, j'attends le début de l'univ' et le blogounet va reprendre du poil de la bête. En attendant, je dors et je bouffe, that's it!