mercredi 26 mars 2008
Extrait de Noce de Cuir, pour donner l'eau à la bouche!
Montée de lait
mercredi 19 mars 2008
Angele Dubeau & la Pietà - Les Beautés du Diables
J'ai toujours adoré cette pièce de je-ne-sais-plus-trop-quel-compositeur. un vrai délice pour les oreilles, selon moi.
Oh boy.
Je ne suis pas reconnue pour ma patience, en fin de session, loin de là...
mardi 18 mars 2008
Moment fort de ma journée
Avec un peu de chance, un miracle peut arriver. ... Ben quoi, vous ne me croyez pas?
* non, essayez pas, je ne sais pas du tout d'où provient ce petit rond de mou installé sur mon ventre depuis Noël...
jeudi 13 mars 2008
Joie de l'insomnie -Bonheur! Bonheur!
Ceci dit, je suis acceptée en bac en linguistique à l'Université de Montréal. Génial. Et je ne peux toujours pas vous annoncer l'autre nouvelle (tsé, celle que j'avais vaguement éfleuré, y'a un bout... me semble) parce que, RIEN NE BOUGE! et voilà. Y'a pas à dire, s'il existe quelque chose que j'hais au plus pas possible, c'est bien d'avoir l'impression de stagner sur place. Je vais bientôt prendre racine!
Oh et puis. Je vous avais déjà fait part de mon manque aigüe de chlorophylle, et bien, c'est passé à l'étape numéro 2. Je ne fantasme plus sur mon amour, mais la simple allusion à un gazon fraichement coupé, au doux clapotis de la piscine, à un sex on the beach bien glacé et au ultra-mini-bikini qui l'accompagne, et voilà, je ne me peux plus. Coco d'Amour, voilà, je te l'annonce par l'entremise de ce blogue illustrement inconnu, tu viens de passer en 2ieme dans ma longue liste de fantasme. Je t'aime pareil.
mercredi 12 mars 2008
The Best Site Of The Years (or of the season)
Non mais, c'est quand est-ce que la température va ENFIN se décider à arrêter de descendre et soudainement comprendre qu'elle est pas loin de -20 degré trop bas? Yé sensé faire une moyenne de 2 degré dehors, pas -17!!!
Pis pus de neige, aussi, siouplait. Y'en a marre, à la fin, BATARD! L'idée du réchauffement climatique et ses bouleversements climatiques itoo n'auront jamais aussi bien pris son sens. Pis avez-vous remarqué que pour les prévisions "14 jours", yannonce TOUT PLEIN DE NEIGE!!
ARG!
Question: Quoi tu fais, là? (mon amour)
Re-re-Edit: Regardez, là! la mise en page est super belle! Pourquoi? PARCE QUE JE L'AI RETRAVAILLÉ AVEC MOZILLA!!!
mardi 11 mars 2008
lundi 10 mars 2008
Le texte le plus poche 2008 - Médéa
Médéa n’entend plus à rire. La rumeur coure qu’elle est la plus cocufiée de l’Île de Montréal. De mauvaise langue parle d’une simple petite secrétaire perfide, une petite drôle au visage refait et aux seins gonflés aux silicones. Une petite garce au nom original de Stéphanie Borduas. Une petite intrigante sans éducation, ni manière. Son mari, ce cher John Shaw, ose se promener au bras de cette petite chatte, à peine majeure, devant leurs amis communs.
Médéa est une grecque, qui a émigrée au Canada afin de suivre son mari, John, qui était alors un petit courtier ontarien en bourse sans importance. Médéa, qui connaissait l’art du trading, par son père, qui était lui-même était un fameux trader grec. À l’aide de ses connaissances, elle avait aidé son mari à devenir un des hommes les plus important et influent du Canada. Sans elle, cet homme ne se serait jamais démarqué des autres petits traders. Elle a fait cet homme. Et par-dessus le marché, elle lui a donné deux magnifiques garçons, Eli et Mikael. À cet homme, elle a tout donné. Sa jeunesse, sa beauté, son intelligence.
Puis vient le drame. John est soupçonné de délit d’initié. Afin de fuir le scandale qui grossit, la famille Shaw se réfugie à Montréal. Et voilà le vrai drame, le sien. Une petite pouffiasse québécoise charme son mari qui tombe bêtement amoureux et ose la tromper, elle Médéa Shaw.
Elle regarde le ciel se voiler. Demain, c’est le 24 avril. Ce sera le Bal des Jonquilles. Elle sait que John s’y trouvera en compagnie de son amante. Elle ira à sa rencontre pour le confronter.
Le soir même, elle feint de ne pas apercevoir la présence de son mari qui se prépare pour l’événement. Il l’ignore également. Dans la tête de John Shaw, il n’y en a que pour Stéphanie et pour ses talents, disons… physique. Il pense au notaire, qu’il faut aller consulter, afin de préparer la lettre de divorce. À l’attitude de sa femme, il n’ignore pas qu’elle est au courant de la situation.
Une fois parti, c’est au tour de Médéa de se préparer. Rapidement, elle se coiffe, se poudre, se parfume. Malgré son nouveau statut de femme cocufiée, elle garde toujours à l’idée qu’on ne doit pas montrer à quel point on est détruit. Habillée de sa plus belle robe Balenciaga, elle va voir ses fils jouer dans la salle de jeu. La petite gardienne, fille d’un de leur proche voisin, est arrivée quelques instants plus tôt et s’amuse avec les deux enfants. Médéa caresse la tête brune de Mikael et surprise dans un élan de faiblesse, s’écroule par terre, serrant dans ses bras ses deux enfants. Ils sont tout ce qu’il lui reste, à présent.
Deux heures plus tard, Médéa arrive face à la Gare Windsor. Elle n’a pas de billet d’entrée, mais étant une des plus importantes donatrices de la Société Canadienne du Cancer, elle entre sans problème. Caché par un cercle de gens influents, elle repère rapidement son mari. Une grande blonde peroxydée s’accroche aux bras de John.
Soudainement, le directeur de la Banque du Canada, Conrad Richmond, vient à leur rencontre. Conrad est un vieil ami du couple. Médéa ne peut distinguer les paroles qu’il prononce envers son mari, mais elle peut comprendre facilement que celui-ci est scandalisé par la présence de sa maîtresse.
Celle-ci, justement, s’éloigne des deux hommes, probablement ennuyée par la dispute dont elle est la cause. Elle s’avance vers un buffet derrière Médéa. Stéphanie se place finalement proche de Médéa. Elle semble complètement ignorer qui est la femme qui se trouve à ses côtés. La cocufiée.
« Bonjour », lui dit Médéa. Stéphanie, surprise qu’on lui adresse la parole, la regarde bêtement. Médéa, se rendant compte de l’ignorance, essaie d’engager la conversation avec la jeune femme. « Je ne vous ai jamais vu ici. »
« Non, j’sais », lui répondit la maîtresse de son mari. « Chuis la nouvelle blonde de John. »
« Ah?… N’avait-il pas une femme? Une Grecque? »
« Han, oui. C’est juste qu’elle a pas encore reçu sa demande en divorce. Coudonc, Est-qu’y’a quelque chose de mangeable, ici? » Demanda Stéphanie, en prenant un petit canapé au beurre de noix. Méprisante, Médéa lui suggéra de goûter à celui qu’elle tenait dans ses mains avant de poser la question, ce que Stéphanie fit sur-le-champ.
Choquée par la vulgarité de la maîtresse et par sa stupidité, Médéa se dirigea, suffocante d’indignation, vers les toilettes afin de reprendre le dessus.
Rendue dans la salle de bain, elle se regarde dans le miroir. Elle était partie avec l’idée de confronter John et sa mijaurée, mais elle n’en a finalement pas la force. Brusquement, des cris se font entendre. Médéa sort en vitesse, se dirigeant vers les cris. Un attroupement lui cache la vue. Elle pousse quelques personnes afin de se faufiler vers la raison des cris.
À terre, Stéphanie convulse, John, paniqué, appelle les ambulances. Puis Stéphanie râle et son corps flasque devient inerte. John hurle son désespoir en prenant le corps de sa maîtresse. À terre, Médéa regarde le canapé qu’elle avait conseillé à l’amante.
John croise les yeux de Médéa. Il suit le regard de Médéa vers le canapé à terre. Il le prend, puis le sent. Il se lève d’un bond, se précipita vers sa femme, l’empoignant durement.
« C’est toi qui l’as tué! Je le sais! Stéphanie était allergique aux noix! Je suis sûr que tu le savais! » Soudain, son téléphone cellulaire sonne. « La… la maison est en feu. Fuite de gaz. Les enfants sont morts. La gardienne aussi. » Il s’effondre par terre.
Médéa pousse un hurlement, puis s’effondre à son tour. Richmond vient à son secours. John, les yeux morts, la regarde.
« C’est elle, c’est ma femme qui a tué mes enfants, la gardienne et mon amie. C’est… la Grecque. »
Basé sur le mythe de Médée, pour un travail dans le cadre du cours "Culture et Imaginaire"... un autre pastiche d'actualisation.
dimanche 9 mars 2008
mercredi 5 mars 2008
Extrait d'un devoir portant sur l'exposition permanente du Musée des Beaux-Arts de Montréal
La présentation des œuvres du musée des Beaux-Arts de Montréal me semble bâclé, sans aucune recherche d’esthétisme et encore moins de logique. Chaque salle contient un peu n’importe quel style, en passant du classicisme à l’École de Barbizon. On dirait qu’on a mis les toiles sur les murs au fur et à mesure qu’elles étaient acquises, sans prendre en compte qu’on aurait pu les classer dans des salles à thème (ex : impressionnisme). Si je regardes le nom des salles, je conclus qu’on a simplement voulu mettre dans chaque pièces les œuvres légués par des donateurs (ex. la salle Banque National) et la bourrer le plus possible, sans logique aucune. De plus, les œuvres sont disposées n’importe comment, comme le témoigne la toile des ours polaires, dont le nom m’échappe, situé au quatrième étage, au dessus d’une porte, visible seulement pour ceux qui s’ennuie et qui regarde le plafond en recherche de distraction. Également, l’éclairage, mal disposé, fait souvent en sorte que la lumière crée des reflets désagréables sur les vernis des toiles, rendant celle-ci difficilement visible sous certains angles. Finalement, il y a un manque d’information récurrent dans ces salles, où aucune information n’est donné sur les toiles, leurs contextes de création, ou les courants artistiques dans lesquelles celles-ci sont nées, pouvant permettre alors une meilleurs compréhension, et par extension, une meilleure appréciation des œuvres présentées. Le musée semble donc exposer ces toiles et ces sculptures dans l’unique perspective d’être vu par une population visiblement plus que cultivée, ayant déjà une connaissance des toiles et de leurs histoires respectives. Par conséquent, on ne permet pas à la population normal d’apprécier ce qui est exposé puisque le musée semble avoir été installé uniquement dans une optique élitiste, refusant au gens normal la capacité de pouvoir aller au-delà de la perspective "ah ouin, j’aime ça" ou "c’est dont bin laid!"
mardi 4 mars 2008
Petit miracle de la vie
lundi 3 mars 2008
Tite misère
Tout ça pour dire que lundi, soit aujourd'hui, nous avons, my rock et moi, fait le tour des magasins. Tous les magasins d'électroménagers et de meubles. Pis maudit que ça existe pas des sofas beaux. confortables et abordable.