vendredi 30 mai 2008

ouiiiiiiiiii!!!

J'ai maintenant une job! Non, mieux, j'en ai deux!!

jeudi 29 mai 2008

Première contastation...

... lorsqu'on déménage dans un endroit où l'on ne connait personne:
MAIS JE M'ENNUIIIIIIIIIIIIIE!!!

Voilà, j'ai passé la balayeuse, j'ai ait tomber tout les CD, je me suis fait les ongles d'orteils, passé en revue tous les site rigolo que je connais et je suis là, à me tourner les pouces, en repoussant le bonheur de faire la cuisine. Parce que, hein, on s'entend. C'est pas que j'aime passionément faire la cuisine (modérément, comme tout être normal) mais je n'ai tellement rien à faire (et je commence à en avoir marre de faire du ménage et défaire des boites sans trop savoir où mettre le stock) que le moment ultime de faire de la bouffe est devenue égale à un orgasme.

Et en plus, ma fabuleuse recherche d'emploi ne semble pas aller sur une bonne pente. Ayaye.

Bon, je ne peux plus reculer, la bouffe m'attend. Merde, c'est quoi je fais à bouffer??


* Petite Montée de Lait*

mercredi 21 mai 2008

allergie au devoir

à trop faire de devoir, j'en ai mal au ptit doigt droit. Si, si, je vous dit. Bon, c'est certain que j'ai aussi mal aux 9 restants et aux deux mains qui les supportent, mais le ptit doigt droit, là... c'est le pire.

edit: pendant un certain temps, mon ordi avait arrêter de se prendre pour R2D2, mais là, il recommence. Mais quelle vie putassière, non mais!

La vie est une pute, épisode 4 877

Non mais, ce blog ne marche décidément pas, et mon ordi se prend encore pour R2D2. Bip Bip!

Un petit bijoux de littéture, caché sous des airs fleurs bleues - Odette Toulemonde et autres histoire, Eric-Emmanuel Schmitt (2006)

Alors que l’ère du roman est à son apogée, Éric-Emmanuel Schmitt a sorti en 2006 un petit bijou de littérature, sous forme de recueil de nouvelles. Mais avec un titre aussi banal que celui d’Odette Toulemonde, nul n’aurait cru que l’on pouvait retrouver huit nouvelles aussi charmantes que profondes dans ce livre. Ce livre fut écrit lors du tournage du film du même nom, réalisé par Schmitt lui-même.

Schmitt est un écrivain réputé de par ce monde. Ce monstre de littérature française est né en 1960, docteur en philosophie, il s’est avant tout fait connaître pour la qualité et l’excellence de ses pièces, souvent récompensé, voir même encensé, comme par exemple Le Visiteur, pièce de théâtre réalisé en 1993 qui a valut à Schmitt trois Molières d’Or. Bien qu’il ait écrit beaucoup de pièce de théâtre, il s’est également mis à l’écriture du roman, comme le démontre son Cycle de l’invisible. En incarnant un véritable touche-à-tout, il s’est ensuite mis à la réalisation d’un de ses propres textes, Odette Toulemonde, parut à l’écran en 2007. L’écriture du recueil s’est, comme je l’ai précédemment mentionné, écrit durant ce tournage.

Ce livre est un recueil de huit nouvelles fort différentes, mais ayant tous comme but d’encenser la femme, et sa recherche du bonheur, sa quête du bonheur. Mais au premier abord, ce livre peut sembler un peu quétaine, au relent suranné d’un kitsch débordant. Les personnages, chacun personnifiant un cliché en quelque sorte, (la milliardaire croqueuse d’homme, l’ouvrière pauvre, mais ô! combien heureuse) vit une histoire quelque peu banal, dont on se serait attendu davantage d’un écrivain un peu fleur bleue et débutant que de Schmitt, qui est un écrivain connu à travers le monde pour l’excellence de ses écrits. C’est, à vrai dire, le genre de livre qui, à première ressemblerait davantage à une mouture de Marc Levy, pour son romantisme gluant et les thèmes abordés (le bonheur, l’amour, etc.) Mais contre tout attente, le livre plait.

L’écriture plait, elle est fluide, coulante, se lit bien. Schmitt utilise un langage somme tout courant, afin de bien cerner ses personnages, sans trop de fla fla inutiles. Les personnages, quant à eux, sonnent tous incontestablement un peu cliché, et se ressemblent tous un peu. On peut effectivement voir un talent certain pour les langues (jusqu’à 6 langues parlées pour certaines!). Mais chaque personnage, un peu banal en soit, parfois même mal développé et un peu bancal (ne pensons qu’à la nouvelle Le Faux) doivent faire face à la maladie, à la mort, à la vieillesse, la solitude, etc., étalé de manière candide et fragile qui, sous un voile de surannée, révèle nos propres faiblesses et peurs.

De plus, la nouvelle principale du recueil, Odette Toulemonde démontre la fragile relation qu’entretient un auteur de best-seller, face à ses lecteurs et à la critique littéraire. Une nouvelle attendrissante, quoiqu’on ne puisse la considérer comme étant la meilleure du livre. On ne peut s’empêcher de faire un parallèle entre l’auteur dans la nouvelle, Balthazar Balsan et l’auteur même du livre, Eric-Emmanuel Schmitt. Quand on connait la vie de l’écrivain, on ne peut en effet s’empêcher de voir une sorte de clin d’œil, d’auto-fiction sur sa propre vie.

Mais si la nouvelle Odette Toulemonde n’est pas la meilleure, celle intitulée L’intruse révèle néanmoins le talent certain de l’auteur pour nous donner des pistes, nous entraîner dans une histoire absurde et plutôt standard au premier coup d’œil pour finalement porter le coup final et nous laissé médusé, devant le génie de Schmitt pour nous démontrer une réalité d’angoisse et de tristesse, au travers d’un regard malade par la vieillesse. Cette nouvelle est, selon moi, le petit chef-d’œuvre caché de ce recueil.

Si certaines nouvelle nous laissent sur notre faim, d’autres nous stupéfient par leur capacité à nous toucher, par des thèmes qui, comme je l’ai mentionné plus haut, nous ressemblent. Chaque nouvelle a son univers propre, avec son thème propre, ses personnages clichés, mais dont on n’aurait pu se passer. Le message de Schmitt, loin d’être moralisateur, passe par la candeur que reflète chacune de ces historiettes, bonne pour nous faire réfléchir sur notre regard face à la vie, l’amour, la solitude, et autres grands questionnements humains. Pour apprécier ce recueil, il faut passer outre la mièvrerie qui, effectivement, transperce ces pages. Mais une fois passée cette étape, nous ne pouvons qu’apprécier ces histoires qui, sous une apparence trompeuse, sont plus profonde qu’on y aurait cru.

Odette Toulemonde, et autres histoires, Eric-Emmanuel Schmitt, Édition Albin Michel, 2006.

mardi 20 mai 2008

HAHAHAHAHAHAHA!!!!

J'ai eu 89% dans un examen final dont je n'étais même pas certaine de passer, au moment ou je l'ai fait. La vie est une pute, mais avec un sacré sens de l'humour, tout de même.

Mais qui l'eut crû!!!!

Pour la première fois de ma vie, j'ai 20 ans.

...

et je me sens déjà désœuvrée.

mercredi 14 mai 2008

Edit sur le dernier post avant celui-ci, sur l'avortement

eh oui, des notes de bas de page niaiseuses comme ça, ça ne peut provenir que d'un devoir de philo 103!! oui oui, mon DERNIER DEVOIR de philo! j'en suis toute émue!

la légalisation de l'avortement, une question philosophique

L’avortement a toujours été un sujet épineux, comme en témoignage la ‘guerre’ engagée entre les militants pro-vie (contre l’avortement) et pro-choix (pour l’avortement). Beaucoup de pays ont d’ailleurs encore une loi visant à empêcher les femmes d’avorter. Quant à un certain nombre d’autre, l’avortement est légalisé, mais uniquement si la santé de la femme ou du fœtus. Donc, si la femme ne désire pas d’enfant, pour n’importe quelle raison personnelle, mais que ni elle ni son bébé est en danger quant à la santé, elle devra malgré tout continuer sa grossesse à terme. Finalement, quelque pays ont tranché et conclu que l’avortement était un droit que la femme avait, peu importe les raisons invoquées.

En ce qui concerne le Canada, la bataille fut longue, mais le 23 janvier 1988, la Cour Suprême du Canada a tranché, et l’avortement est légal, sans restriction juridique. Mais il faut se mettre dans la situation pour mieux comprendre cet événement. Jusqu’en 1969, l’avortement a été illégal au Canada. Après cette année fatidique, le Canada fit un pas dans la modernité, en acceptant l’avortement, seulement si la grossesse représente un risque au niveau de la santé. Cette considération se faisait comme suit : un conseil de trois médecins, dans un hôpital devaient ensembles décider si la grossesse ou non était dangereuse et tranché en faveur ou non, de l’avortement. Malheureusement, le terme santé n’ayant pas été bien décrit, on distinguait des inégalités tout dépendamment des régions. Ainsi, certains hôpitaux étaient très permissifs, alors que d’autre étaient beaucoup plus sévère. En 1988, le docteur Henry Morgentaler a intenté une poursuite contre l’État, afin de légaliser l’avortement sous toutes ses formes. Et le 23 janvier, la Cours Suprême du Canada tranchait en faveur de Morgentaler, en modifiant la loi 251 afin de légaliser l’avortement. Depuis ce jour, n’importe quelles Canadiennes, peut importe ses raisons, peuvent se faire avorter.

Malgré tout cela, tout le monde n’est pas content et on se pose encore la question si la légalisation (ou décriminalisation) de l’avortement est une bonne chose. Si l’on regarde d’un point de vue philosophique, ont voit que la philosophie de Kant se range du côté des militants pro-vie et que la philosophie libérale se range dans le camp des pro-choix.

KANT

On peut considérer Kant comme pouvant être un potentiel pro-vie[1]. Celui-ci a établi un principe, soit celui d’universalisation. Celui-ci a pour idée que si nous voulons faire une action (d’importance, généralement) nous devons nous demander si nous voulons que ce principe soit universel. Ce principe doit se conformer à trois règlements et si l’un d’elles ne répond pas, nous pouvons considérer que cette action n’est pas morale. Nous allons regarder l’avortement uniquement au travers des trois règlements, mais dont deux, fait de manière conjointe. Les deux premières, qui seront examinés ensembles, sont : l’universalisation de l’action rendrait entraînerait l’action impossible et l’universalisation de l’action entraîneraient la destruction de l’humanité. Nous faisons ces deux règlements uniquement parce que répondre à la première, c’est la réponse à la seconde. Alors, si nous rendons le principe de l’avortement universalisable, c’est dire que toutes les femmes pourrait vouloir se faire avorter. Bien que cela paraisse à proprement dit impossible, toutes les femmes ne pourraient pas vouloir toujours et à chaque fois avorter, pour les besoins de la cause, nous allons faire comme si. Donc, si toutes les femmes voulaient avorter, ce principe deviendrait irréalisable puisque si toutes les femmes veulent avorter, nous pouvons considérer qu’il n’y aurait plus de grossesses. De ce fait, nous pouvons considérer que l’avortement, lorsqu’il est rendu à l’état universalité devient donc destructible pour la planète. L’humanité se détruirait lui-même au travers de l’avortement, en ne permettant pas la continuité de l’espèce. C’est donc en se sens que la première réponse répond également à la deuxième. Le principe devient irréalisable puisqu’il entraîne de ce fait la destruction de l’humanité


Ensuite, nous pouvons considérer la troisième requête du principe d’universalisation, soit que l’universalisation de l’action irait à l’encontre des intérêts fondamentaux de tout être raisonnable. Si l’on regarde les deux principes déjà énoncés plus haut, nous pouvons considérer que l’action d’universaliser l’avortement ne serait en aucun cas raisonnable. Tout être doté de raison et l’utilisant avec justesse sait que nous devons perpétuer la race humaine, sans quoi l’espèce humaine s’éteindra. C’est un devoir que nous avons de faire en sorte que la race humaine continue d’exister au-delà de notre vie propre. Par conséquent, l’universalisation de l’avortement serait rejetée par n’importe qui ayant un peu de bon sens. Nous pouvons donc conclure que, suivant son principe d’universalisation, Kant se serait opposé à cette pratique, d’où la raison pour laquelle nous pouvons le considérer comme étant un possible partisan du mouvement pro-vie et serait donc contre la légalisation de l’avortement.

LIBÉRALISME POLITIQUE

Quant un libéralisme politique, nous pouvons les considérer comme étant des pro-choix. Donc, pour eux, l’avortement est davantage une affaire personnelle que criminelle. Nous pouvons résumer l’opinion libérale comme suit : Chaque femme a le droit de faire ce qu’elle veut de son corps et de sa vie. Nous pouvons néanmoins diviser ce raisonnement en deux explications. La première est que l’État doit être au service des individus, et non l’inverse, car la fonction fondamentale de l’État est de protéger les droits des individus. Si l’on prend en considération que l’État[2] doit protéger ses citoyens, il est déraisonnable de penser que l’on doit contraindre une femme enceinte d’une grossesse non désirée (peu importe la raison). En effet, on peut considérer cela comme étant une atteinte à son droit à la vie, à la liberté et à la sécurité de la personne. Donc, étant donné que l’État se doit de protéger les droits de ses citoyens (incluant ceux des femmes), il se doit de ne pas interdire l’avortement, puisque c’est contraire à ses principes de protection assurée des droits de ses individus. Évidemment, certain diront que l’enfant à naître à également droit à la vie. Sauf que l’État canadien considère qu’une personne a le droit à la vie dès qu’il est né et pas avant, puisque alors se serait nier les droits de la mère, étant donné que l’avortement serait considéré comme étant un meurtre. On renierait donc un fois de plus les droits de la femme enceinte à la liberté, à la vie et à la sécurité, ce que l’État libéral ne veut en aucun cas.

Ensuite, il serait intéressant de se poser la question si l’avortement est une action au niveau personnel ou public. Si l’on commence en prenant considération que l’avortement est une question personnelle, il faut savoir que l’État doit limiter ses interventions sur la sphère publique et s’abstenir d’intervenir dans la sphère de la vie privée. Ce que cela veut dire, c’est que si on dit que l’avortement est une question d’ordre privée, l’État ne doit pas intervenir et interdire cette pratique, puisque selon le libéralisme politique, l’État n’a aucun droit dans la sphère privée. Par conséquent, l’État ne peut criminaliser un acte qui est personnelle à la personne, généralement la mère. Mais si l’on considère, par contre, que l’avortement est d’ordre public, par exemple, en invoquant les raisons d’universalisation de Kant mentionné plus haut, voulant que l’avortement entraîne la chute de l’humanité, l’État ne pourrait pas davantage criminaliser l’action. En effet, en partant du point que l’État doit le moins possible limiter ses interventions dans les affaires publiques, et qu’en plus, l’État se doit de protéger les droits et libertés de ses individus, il serait contraire à ses devoirs s’il criminalise l’avortement. Effectivement, comme mentionné plus haut, l’avortement serait un piétinement total des droits et libertés de la femme/future mère. Par conséquent, l’État se doit d’être pro-choix et d’accepter l’avortement comme étant légal, et ce, peu importe l’opinion de ses dirigeants[3].

MOI

Quant à moi, je suis une militante pro-choix. Mon idée s’accorde donc avec celle du libéralisme politique. Je considère que peu importe la raison pour laquelle une femme veut avorter, c’est avant tout une raison personnelle. On ne peut s’y opposer, c’est avant tout une décision unique à la personne concernée, soit uniquement la future mère. Il est évident que l’avortement est un choix difficile à faire et à accepter. Pourtant, depuis la légalisation de l’avortement en 1988, on peut voir qu’il n’y a pas eu de montée spectaculaire d’avortement pratiqué au Canada. D’autant plus que nous pouvons nous considérer comme étant tout à fait dans la moyenne mondiale. Également, dans 50% des cas, il y a avortement parce qu’il y a eu une défaillance des moyens de contraceptions. Donc, lorsqu’on parle d’avortement, il ne faut pas monte sur ses grands chevaux. De tout temps, il y a eu des avortements, légaux ou non. Ceux qui les pratiquaient étaient nommés comme étant les faiseurs d’anges. Et ces avortements n’étaient pas toujours sécuritaires. Donc, la légalisation de l’avortement, non seulement garantis les droits de la femme, mais en plus, lui garantit un avortement sécuritaire, pratiqué par des médecins spécialisés et dans un endroit sanitaire et adapté, avec tous services requis en cas de complication.

Finalement, la légalisation de l’avortement au Canada reste encore et toujours un sujet épineux. Les partisans du mouvement pro-vie peuvent évoquer Kant et son principe d’universalisation, donc que si l’avortement devient un cas général, il y aurait une destruction de l’humanité. Mais quant à leurs opposants (dont je fais partie), les pro-choix, ils peuvent évoquer les droits de la femme à la liberté, la sécurité de sa personne et à la vie. Malgré tout, il faut savoir qu’il est difficile de juger une femme qui se fait avorter sans se mettre dans sa situation. Et étant donné que chaque situation est différente, on ne peut, en toute justice, que légaliser l’avortement afin que toutes les femmes soient égales.



[1] Il faut se rappeler qu’il est mort, donc qu’il n’a plus d’opinion.

[2] Car lorsqu’on parle d’avortement, il est toujours question d’État et de ses lois.

[3] D’ailleurs, il est inquiétant de considérer que présentement, le parti conservateur essaie de remettre en question la légalisation de l’avortement. Le Canada ayant une politique libérale pourtant, on ne peut que s’inquiéter de ces tentatives rétrogrades qui va à l’encontre des droits de la femme.

Emily Jane White - wild tiger I have know



Voilà une artiste que je viens de découvrir depuis peu. J'aime beaucoup sa voix texturé et l'ambiance feutré de ses chansons. Elle me fait penser à Cat Power, en ce qui concerne sa voix, mais en plus doux. Magnifique.

Ah çà...

Il faut bien se l'admettre. Le concept de Note de bas de page dans le programme Microsoft Words est tout simplement l'invention du siècle.

mardi 13 mai 2008

Changement de style

Là, j'hésite. J'ai toujours eu un faible pour le vert et ses pommes, mais peut-être que ce blog convient mieux pour du rose. Même les 2 tites photos semblent aller vers le rose.
Vous me direz vos impressions.

m'enfin bref. d'ici bientôt, je commence à publier Noce de Cuir. Dès que cette putain de session est fini, promis.

lundi 12 mai 2008

La vie est une pute, épidode 4 825

Tannée d'une session qui ne finit plus,
Tannée d'une personne harcelante,
Tannée d'un duo horripilant,
Mon amour, quand me sauve-tu?
Ah oui, seulement dans 12 jours, parait-il.



Ce n'est pas parce que mon post est dans le libellé 'mauvaise humeur' que je suis nécessairement de mauvaise humeur. non. Je suis juste BEN de mauvaise humeur.

samedi 10 mai 2008

Paraitrait-il que...

... dans mon appart, tous les murs sont recouvert de primer!!!
Joie! Joie!

vendredi 9 mai 2008

Non mais, tout de même...

... avez-vous remarqué les pub pour la collecte annuelle du diocèse de Montréal? Un église, prise de vue contre-plongé, dont on s'aperçoit que tous les vitraux et fenêtres ont été remplacé par des planches de ply-wood. Pour nous démontrer le statut précaire de l'Église, qu'on dit.
Mais est-ce que vous vous souvenez de la pub pour le diocèse de l'année passée? Une peinture montrant en gros plan le buste du Christ ensanglanté et avec, comme message 'Il a déjà donné'.

Je sais pas pour vous, mais... Culpabilité!!! C'est vraiment rien que comme ça que l'Église catholique québécoise fonctionne, faut croire...

Amélia

Cette nuit, j'ai écouté le film Amélia d'Edouard Locke et sa compagnie de danse La La La Human Steps. É-coeu-rant. Mais il n'empêche que là, je suis morte de fatigue. Ce qui est très intéressant, c'est que selon moi, on explore les relations amoureuses dans cette prestation de danse incroyable. Mais bon, je suis trop claquée pour vraiment dire ce que j'en pense, alors je vous met un extrait, celui de la première danse du film. Écoutez la musique, aussi. Magnifique, je vous le dit.


mardi 6 mai 2008

Ouééé!

De un, y'a un pauvre type méprisable qui me laisse des commentaires tout aussi méprisables. Stoppez immédiatement, merci.

De deux, y'm'reste plus que 12 dodos!!!!! ouais, la vie est so marvelous.

samedi 3 mai 2008

Les ti-canayens ont perduuus....

MON CHUM VA ENFIN SE COUPER LA BARBE ET LES CHEVEUX!!!!! ouééééé!!!
mais sinon, sur une note plus encourageante, nos habs nationaux sont déjà allé plus loin que l'année passée, alors imaginez l'année prochaine. D'autant plus que ça va être le centenaire des glorieux, donc ça serait cheap de leur part de ne pas finir avec la tite coupe Stanley, non?


...


ahahah, ouééé... je prends tout de suite rendez-vous chez le coiffeur, tien.

Je suis une baleine pathétique.

Un seul soir que je ne vois pas mon amour et je ne sais pas quoi faire. Bon, j'aurais pu aller au party de Mel... mais je suis trop claquée. Tout de même. Qu'est-ce que... mmh. Ouais, je fais dure. D'autant plus que je m'exile bientôt dans HasBeen of NoWhere...

Pis aujourd'hui, météomédia m'a menti. Y'annonçait soleil, pourtant!...

Edit: finalement, même si je ne suis pas allez au party de mel (mel, je t'aiiiime!) j'ai quand même fait autre chose que de resté assis dans mon sofa à me tourner les pouces et à me morfondre sur l'absence de l'amour de ma vie. ET, note à moi-même. ne jamais sortir dans les bar-café-resto-etc-n'importe ou il y a une tv, le soir de match de hockey.

Eeh.

J'ai (parfois) des commentaires bizarres.

d'autant plus que le com' bizarre a l'air de provenir de quelqu'un de ma connaissance, mais je ne sais pas c'est qui. Je suis extraordinaire. Ouais.

vendredi 2 mai 2008

La Passion, selon Sainte-Moi

Selon moi, la passion, c'est de la merde. Attention. Je ne dis pas qu'il ne faut pas de passion, plus jamais, never, absolutly never. Je dis juste que c'est de la merde, et que donc, il ne faut pas se baser dessus.

Selon moi, la passion est quelque chose d'éphémère d'évasif, de vaporeux. Et c'est ce qui fait son charme. (car oui, j'aime beaucoup la passion) La passion, parcontre, ça a pas le bénéfice de construire une vie dessus. La passion, c'est la passion. Et la passion, ça ne devrait pas durer.

Jamais.

Je m'explique.

À mon avis, la passion est un sentiment fort, intense, qui agit comme une sorte de catastrophe. La passion -généralement- il y en a en-veux-tu-en-v'là au début d'une relation. Le début d'une relation, c'est toujours passionné. On ne peut plus se passer de l'être aimé, on lui saute dessus dès qu'on le voit et (attention, je suis crue) on mouille en dedans de deux ou on se dresse comme un caporal dès les toutes premières effluves annonçant la venue de l'être (nouvellement) aimé. La passion, c'est intense, torride. La passion, c'est quand l'autre devient ton oxygène. La passion,... c'est la passion.

Mais est-ce que vous vous imaginez sincèrement vivre dans un amour passionnel le reste de votre vie? Un amour intense, fulgurante, aussi fort qu'au premier jour? (c-à-d, que dès sa seule vue, vous voulez lui sauter dessus et lui faire sauvagement l'amour tout de suite, même si c'est en pleine rue?) C'est que... voyez-vous, la passion, ça a de ça aussi que c'est particulièrement épuisant. Lorsqu'on vit dans la passion (et tout les amis de personnes nouvellement en couple passionnés me le confirmeront) vous n'avez qu'un seul sujet, l'autre. Qu'une seule image en tête, la face de l'autre. Qu'un seul but, voir l'autre. Qu'une seule ambition, sauter l'autre éternellement. La passion fait en sorte que vous vous éloignez de vos amis, que vous êtes incapable de fonctionner normalement, tout à la pensée de l'autre, incapable de sociabiliser (étant donner que les autres, c'est pas l'Autre), etc. La passion fait de vous un être particulièrement no-life.

Donc. La passion, c'est de la merde. Mais on s'entend! La passion, c'est bien, mais au début d'une relation, à certain moment fort, au moment de faire des pirouettes acrobatiques dans le lit, etc. Mais tout le temps? Nah.

Entre-temps, il faut qu'il y ait cette autre amour. Le vrai amour. L'amour qui dure, l'amour confortable, l'amour résistant contre les intempéries. Bref, l'amour Black & Daker. Cet amour-là, c'est la base d'une vie commune. C'est pas la passion, puisque la passion est éphèmere. La chute sera aussi longue que fut haute sa montée, qu'on dit. Ben justement. Parce que veux-veux pas, la passion, ça dure jamais. Parce que quand il n'y a que de la passion, y' pas d'amour Black & Daker. Et quand il n'y a pas de cet amour-là, le jour ou on s'aperçoit que l'autre pète dans son sommeil, la passion prend le bord assez rapidement.

Parce que, soyons honnête. La passion, au début, c'est bon. Mais la passion n'accepte que la perfection, autrement dit, l'illusion de la perfection. Tandis que, justement, l'amour Black & Daker, cet amour-béton, apprécie ces petites imperfections. C'est ce qui fait que quand on entend un *prout!* la nuit, on sourit, parce que l'être aimé est à nos côté.

*Message à mon compioutère de merde*

Je ne comprends pas le langage bip-bip. Alors cesse de bipbiper tout le temps.

Aussi, message à mon anti-virus de fou: T'es pas obligé de faire une mise à jour automatique à toutes les 5 minutes, merci.

Nah, je suis pas addict...

Dadi dadi dou-dou

Vous l'ai-je déjà dit? Je hais mon ordi.

Mais! changement radical de sujet:

J'AI ENFIN SIGNÉ MON *PUTAIN* DE BAIL!!!!!! wouhou!
On n'imagine jamais le soulagement de savoir ou on vas habiter d'ici 2 mois. Dans tous les cas, je déménage officiellement à St-Jean city on the river Richelieu le 24 mai au soir. *Joie! Joie!*