mercredi 31 décembre 2008
lundi 22 décembre 2008
Les Joies de la Grossesse, Épisode 2
vendredi 12 décembre 2008
Beurk
jeudi 11 décembre 2008
mardi 9 décembre 2008
Les joyeux symptomes de ma sympathique grossesse
lundi 8 décembre 2008
vendredi 5 décembre 2008
jeudi 4 décembre 2008
2 nouvelles adresses
Vieille publicité
Confession
lundi 1 décembre 2008
Lavage?
jeudi 27 novembre 2008
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
samedi 22 novembre 2008
Le palais des nains.
vendredi 21 novembre 2008
oh...
vendredi 7 novembre 2008
Tsé veut dire
jeudi 6 novembre 2008
question: koss m'a faire de ma journée?
mercredi 5 novembre 2008
Obama vainqueur!
mardi 4 novembre 2008
Question: Qu'est-ce que j'écoute à fond la caisse toute seule dans mon appart là-là?
vendredi 31 octobre 2008
Bah oui, je déprime encore
Une question de plancher
Je suis perplexe.
Et j'en ai un peu marre, aussi.
mardi 28 octobre 2008
lundi 27 octobre 2008
Tant qu'à faire
si j'pouvais, j'en tabasserais bien 3-4
vendredi 24 octobre 2008
hoho
amm?
jeudi 23 octobre 2008
Cauchemar
Moi et mon esprit tordu de Miss Romantique
mardi 21 octobre 2008
Un homme malade, c'est dont malade
lundi 20 octobre 2008
on a les amours qu'on a
samedi 18 octobre 2008
feu feu, joli feu
Miss politique en retard de 4 jours
vendredi 17 octobre 2008
Xeno
lundi 13 octobre 2008
Bon!!
mardi 7 octobre 2008
mardi 30 septembre 2008
Wouhou!!!
Iiiiih!!! que je l'aime!!!
samedi 27 septembre 2008
479-459
J'sais pas, moi...
mercredi 24 septembre 2008
Nous, on n'est pas aimé de Poste Canada
Une envie soudaine de...
J'aime bien le saut entre...
So what?
mardi 23 septembre 2008
Et voilà
mercredi 17 septembre 2008
Vegetable
samedi 6 septembre 2008
'ÇA'
mardi 2 septembre 2008
samedi 30 août 2008
Blanche, 2002
J'ai rarement vu un film aussi pitoyable. Et les dialogues... oh la vache, je crois que c'est ce qui m'a le plus traumatisée: Ça crie tout le temps (mais pourquoi? à la longue, ça irrite la gorge) et c'est un mélange désastreux des tournures entourloupées de Molière et du langage de rue parisien actuel (verlan, je crois...?) À n'y rien comprendre. En tout cas, moi, à 11h 30, je n'y ai pas compris grand chose.
Enfin, le film était nul, voilà. Et à minuit 41, j'ai droit de chialer, nah. Ah, j'oubliais. L'héroïne, là, Blanche de Péronne. Complètement folle. Si, si, c'est moi qui vous le dit. Givrée solide, même.
oh, misere, juste 1h moins le quart... la nuit s'annonce longue avant ce matin...
jeudi 21 août 2008
Question: Qu'est-ce qui est le plus amusant, around the world?
mardi 19 août 2008
mardi 12 août 2008
J'ai adopté un écureuil sans le savoir.
mercredi 6 août 2008
jeudi 24 juillet 2008
Nouveauté
jeudi 17 juillet 2008
Le sypton, suite et fin du prologue
-Mais, mais les gens de la cour? De la ville? Que feront-ils?
-Plus tard, vous devez fuir! Le petit caporal prit le bras du premier Érudit qu’il trouva à sa portée et se dirigea vers la porte camouflée dans la pièce qui menait vers le tunnel secret qui reliait la Salle du Grand Conseil à l’extérieur de la ville. Il commença à actionner le mécanisme d’ouverture de la porte lorsque soudain, il y eu un grand bruit, suivit d’un silence. Puis un cri. La muraille du Palais Blanc avait été détruite, les envahisseurs marchaient maintenant sur la ville. Le visage du Grand Érudit blêmit. Il serra le petit objet cylindrique contre sa poitrine, marmonnant quelques paroles inaudibles. Un filet de bave coulait sur le bord de ses lèvres sèches et ses yeux, aux regards aussi innocent qu’un petit enfant cherchait un réconfort qui ne viendrait pas. Le Grand Érudit de la Glorieuse Vallée Blanche de Brass était complètement sénile et incapable de régner sur le plus important royaume d’Ephem. Alors qu’il était là, à chercher du réconfort, serra l’objet contre sa poitrine décharné comme un doudou, il eu un éclair de lucidité. Il chercha des yeux le plus jeunes des Érudits, Augustus. D’une démarche hâtive, il alla directement vers lui.
-Augustus, vous devez cacher le sypton! C’est ce qu’ils veulent, le sypton! Allez-y tout seul, nous resterons ici. Nous les retiendrons, nous les retiendrons loin de vous autant que nous pourrons, mais il vous faut absolument mettre cet objet en sûreté, loin de Phelter! Vite!
L’Érudit Augustus prit le petit objet cylindrique et le glissa dans la poche de sa veste. Il repoussa le petit caporal et actionna le mécanisme. Derrière lui, le Grand Érudit fit part de sa décision aux autres Érudits dans la salle. Ils se sacrifieront tous pour la sécurité du petit objet cylindrique. De toute manière, ils étaient tous au seuil de leur vie. Les gardes acceptèrent leur décision et se mit en position de défense, selon les ordres du petit caporal.
mardi 15 juillet 2008
vendredi 11 juillet 2008
Le sypton, avant goût
-Mais… Mais… où est le général Forbio? Marmonna d’une voix tremblante le Grand Érudit, tournant nerveusement dans ses mains desséchées un petit objet cylindrique. Le petit caporal était accompagné d’un dizaine de garde du Palais Blanc.
mardi 8 juillet 2008
maybe
ahem
lundi 7 juillet 2008
aaaaaaaa... TCHOUMMM!!
samedi 7 juin 2008
jeudi 5 juin 2008
Aaah, ces napolitains!
lundi 2 juin 2008
La vie est une pute, épisode 5 712
vendredi 30 mai 2008
jeudi 29 mai 2008
Première contastation...
MAIS JE M'ENNUIIIIIIIIIIIIIE!!!
Voilà, j'ai passé la balayeuse, j'ai ait tomber tout les CD, je me suis fait les ongles d'orteils, passé en revue tous les site rigolo que je connais et je suis là, à me tourner les pouces, en repoussant le bonheur de faire la cuisine. Parce que, hein, on s'entend. C'est pas que j'aime passionément faire la cuisine (modérément, comme tout être normal) mais je n'ai tellement rien à faire (et je commence à en avoir marre de faire du ménage et défaire des boites sans trop savoir où mettre le stock) que le moment ultime de faire de la bouffe est devenue égale à un orgasme.
Et en plus, ma fabuleuse recherche d'emploi ne semble pas aller sur une bonne pente. Ayaye.
Bon, je ne peux plus reculer, la bouffe m'attend. Merde, c'est quoi je fais à bouffer??
* Petite Montée de Lait*
mercredi 21 mai 2008
allergie au devoir
edit: pendant un certain temps, mon ordi avait arrêter de se prendre pour R2D2, mais là, il recommence. Mais quelle vie putassière, non mais!
La vie est une pute, épisode 4 877
Un petit bijoux de littéture, caché sous des airs fleurs bleues - Odette Toulemonde et autres histoire, Eric-Emmanuel Schmitt (2006)
Alors que l’ère du roman est à son apogée, Éric-Emmanuel Schmitt a sorti en 2006 un petit bijou de littérature, sous forme de recueil de nouvelles. Mais avec un titre aussi banal que celui d’Odette Toulemonde, nul n’aurait cru que l’on pouvait retrouver huit nouvelles aussi charmantes que profondes dans ce livre. Ce livre fut écrit lors du tournage du film du même nom, réalisé par Schmitt lui-même.
Schmitt est un écrivain réputé de par ce monde. Ce monstre de littérature française est né en 1960, docteur en philosophie, il s’est avant tout fait connaître pour la qualité et l’excellence de ses pièces, souvent récompensé, voir même encensé, comme par exemple Le Visiteur, pièce de théâtre réalisé en 1993 qui a valut à Schmitt trois Molières d’Or. Bien qu’il ait écrit beaucoup de pièce de théâtre, il s’est également mis à l’écriture du roman, comme le démontre son Cycle de l’invisible. En incarnant un véritable touche-à-tout, il s’est ensuite mis à la réalisation d’un de ses propres textes, Odette Toulemonde, parut à l’écran en 2007. L’écriture du recueil s’est, comme je l’ai précédemment mentionné, écrit durant ce tournage.
Ce livre est un recueil de huit nouvelles fort différentes, mais ayant tous comme but d’encenser la femme, et sa recherche du bonheur, sa quête du bonheur. Mais au premier abord, ce livre peut sembler un peu quétaine, au relent suranné d’un kitsch débordant. Les personnages, chacun personnifiant un cliché en quelque sorte, (la milliardaire croqueuse d’homme, l’ouvrière pauvre, mais ô! combien heureuse) vit une histoire quelque peu banal, dont on se serait attendu davantage d’un écrivain un peu fleur bleue et débutant que de Schmitt, qui est un écrivain connu à travers le monde pour l’excellence de ses écrits. C’est, à vrai dire, le genre de livre qui, à première ressemblerait davantage à une mouture de Marc Levy, pour son romantisme gluant et les thèmes abordés (le bonheur, l’amour, etc.) Mais contre tout attente, le livre plait.
L’écriture plait, elle est fluide, coulante, se lit bien. Schmitt utilise un langage somme tout courant, afin de bien cerner ses personnages, sans trop de fla fla inutiles. Les personnages, quant à eux, sonnent tous incontestablement un peu cliché, et se ressemblent tous un peu. On peut effectivement voir un talent certain pour les langues (jusqu’à 6 langues parlées pour certaines!). Mais chaque personnage, un peu banal en soit, parfois même mal développé et un peu bancal (ne pensons qu’à la nouvelle Le Faux) doivent faire face à la maladie, à la mort, à la vieillesse, la solitude, etc., étalé de manière candide et fragile qui, sous un voile de surannée, révèle nos propres faiblesses et peurs.
De plus, la nouvelle principale du recueil, Odette Toulemonde démontre la fragile relation qu’entretient un auteur de best-seller, face à ses lecteurs et à la critique littéraire. Une nouvelle attendrissante, quoiqu’on ne puisse la considérer comme étant la meilleure du livre. On ne peut s’empêcher de faire un parallèle entre l’auteur dans la nouvelle, Balthazar Balsan et l’auteur même du livre, Eric-Emmanuel Schmitt. Quand on connait la vie de l’écrivain, on ne peut en effet s’empêcher de voir une sorte de clin d’œil, d’auto-fiction sur sa propre vie.
Mais si la nouvelle Odette Toulemonde n’est pas la meilleure, celle intitulée L’intruse révèle néanmoins le talent certain de l’auteur pour nous donner des pistes, nous entraîner dans une histoire absurde et plutôt standard au premier coup d’œil pour finalement porter le coup final et nous laissé médusé, devant le génie de Schmitt pour nous démontrer une réalité d’angoisse et de tristesse, au travers d’un regard malade par la vieillesse. Cette nouvelle est, selon moi, le petit chef-d’œuvre caché de ce recueil.
Si certaines nouvelle nous laissent sur notre faim, d’autres nous stupéfient par leur capacité à nous toucher, par des thèmes qui, comme je l’ai mentionné plus haut, nous ressemblent. Chaque nouvelle a son univers propre, avec son thème propre, ses personnages clichés, mais dont on n’aurait pu se passer. Le message de Schmitt, loin d’être moralisateur, passe par la candeur que reflète chacune de ces historiettes, bonne pour nous faire réfléchir sur notre regard face à la vie, l’amour, la solitude, et autres grands questionnements humains. Pour apprécier ce recueil, il faut passer outre la mièvrerie qui, effectivement, transperce ces pages. Mais une fois passée cette étape, nous ne pouvons qu’apprécier ces histoires qui, sous une apparence trompeuse, sont plus profonde qu’on y aurait cru.
mardi 20 mai 2008
HAHAHAHAHAHAHA!!!!
Mais qui l'eut crû!!!!
...
et je me sens déjà désœuvrée.
mercredi 14 mai 2008
Edit sur le dernier post avant celui-ci, sur l'avortement
la légalisation de l'avortement, une question philosophique
L’avortement a toujours été un sujet épineux, comme en témoignage la ‘guerre’ engagée entre les militants pro-vie (contre l’avortement) et pro-choix (pour l’avortement). Beaucoup de pays ont d’ailleurs encore une loi visant à empêcher les femmes d’avorter. Quant à un certain nombre d’autre, l’avortement est légalisé, mais uniquement si la santé de la femme ou du fœtus. Donc, si la femme ne désire pas d’enfant, pour n’importe quelle raison personnelle, mais que ni elle ni son bébé est en danger quant à la santé, elle devra malgré tout continuer sa grossesse à terme. Finalement, quelque pays ont tranché et conclu que l’avortement était un droit que la femme avait, peu importe les raisons invoquées.
En ce qui concerne le Canada, la bataille fut longue, mais le 23 janvier 1988, la Cour Suprême du Canada a tranché, et l’avortement est légal, sans restriction juridique. Mais il faut se mettre dans la situation pour mieux comprendre cet événement. Jusqu’en 1969, l’avortement a été illégal au Canada. Après cette année fatidique, le Canada fit un pas dans la modernité, en acceptant l’avortement, seulement si la grossesse représente un risque au niveau de la santé. Cette considération se faisait comme suit : un conseil de trois médecins, dans un hôpital devaient ensembles décider si la grossesse ou non était dangereuse et tranché en faveur ou non, de l’avortement. Malheureusement, le terme santé n’ayant pas été bien décrit, on distinguait des inégalités tout dépendamment des régions. Ainsi, certains hôpitaux étaient très permissifs, alors que d’autre étaient beaucoup plus sévère. En 1988, le docteur Henry Morgentaler a intenté une poursuite contre l’État, afin de légaliser l’avortement sous toutes ses formes. Et le 23 janvier, la Cours Suprême du Canada tranchait en faveur de Morgentaler, en modifiant la loi 251 afin de légaliser l’avortement. Depuis ce jour, n’importe quelles Canadiennes, peut importe ses raisons, peuvent se faire avorter.
Malgré tout cela, tout le monde n’est pas content et on se pose encore la question si la légalisation (ou décriminalisation) de l’avortement est une bonne chose. Si l’on regarde d’un point de vue philosophique, ont voit que la philosophie de Kant se range du côté des militants pro-vie et que la philosophie libérale se range dans le camp des pro-choix.
KANT
On peut considérer Kant comme pouvant être un potentiel pro-vie[1]. Celui-ci a établi un principe, soit celui d’universalisation. Celui-ci a pour idée que si nous voulons faire une action (d’importance, généralement) nous devons nous demander si nous voulons que ce principe soit universel. Ce principe doit se conformer à trois règlements et si l’un d’elles ne répond pas, nous pouvons considérer que cette action n’est pas morale. Nous allons regarder l’avortement uniquement au travers des trois règlements, mais dont deux, fait de manière conjointe. Les deux premières, qui seront examinés ensembles, sont : l’universalisation de l’action rendrait entraînerait l’action impossible et l’universalisation de l’action entraîneraient la destruction de l’humanité. Nous faisons ces deux règlements uniquement parce que répondre à la première, c’est la réponse à la seconde. Alors, si nous rendons le principe de l’avortement universalisable, c’est dire que toutes les femmes pourrait vouloir se faire avorter. Bien que cela paraisse à proprement dit impossible, toutes les femmes ne pourraient pas vouloir toujours et à chaque fois avorter, pour les besoins de la cause, nous allons faire comme si. Donc, si toutes les femmes voulaient avorter, ce principe deviendrait irréalisable puisque si toutes les femmes veulent avorter, nous pouvons considérer qu’il n’y aurait plus de grossesses. De ce fait, nous pouvons considérer que l’avortement, lorsqu’il est rendu à l’état universalité devient donc destructible pour la planète. L’humanité se détruirait lui-même au travers de l’avortement, en ne permettant pas la continuité de l’espèce. C’est donc en se sens que la première réponse répond également à la deuxième. Le principe devient irréalisable puisqu’il entraîne de ce fait la destruction de l’humanité
Ensuite, nous pouvons considérer la troisième requête du principe d’universalisation, soit que l’universalisation de l’action irait à l’encontre des intérêts fondamentaux de tout être raisonnable. Si l’on regarde les deux principes déjà énoncés plus haut, nous pouvons considérer que l’action d’universaliser l’avortement ne serait en aucun cas raisonnable. Tout être doté de raison et l’utilisant avec justesse sait que nous devons perpétuer la race humaine, sans quoi l’espèce humaine s’éteindra. C’est un devoir que nous avons de faire en sorte que la race humaine continue d’exister au-delà de notre vie propre. Par conséquent, l’universalisation de l’avortement serait rejetée par n’importe qui ayant un peu de bon sens. Nous pouvons donc conclure que, suivant son principe d’universalisation, Kant se serait opposé à cette pratique, d’où la raison pour laquelle nous pouvons le considérer comme étant un possible partisan du mouvement pro-vie et serait donc contre la légalisation de l’avortement.
LIBÉRALISME POLITIQUE
Quant un libéralisme politique, nous pouvons les considérer comme étant des pro-choix. Donc, pour eux, l’avortement est davantage une affaire personnelle que criminelle. Nous pouvons résumer l’opinion libérale comme suit : Chaque femme a le droit de faire ce qu’elle veut de son corps et de sa vie. Nous pouvons néanmoins diviser ce raisonnement en deux explications. La première est que l’État doit être au service des individus, et non l’inverse, car la fonction fondamentale de l’État est de protéger les droits des individus. Si l’on prend en considération que l’État[2] doit protéger ses citoyens, il est déraisonnable de penser que l’on doit contraindre une femme enceinte d’une grossesse non désirée (peu importe la raison). En effet, on peut considérer cela comme étant une atteinte à son droit à la vie, à la liberté et à la sécurité de la personne. Donc, étant donné que l’État se doit de protéger les droits de ses citoyens (incluant ceux des femmes), il se doit de ne pas interdire l’avortement, puisque c’est contraire à ses principes de protection assurée des droits de ses individus. Évidemment, certain diront que l’enfant à naître à également droit à la vie. Sauf que l’État canadien considère qu’une personne a le droit à la vie dès qu’il est né et pas avant, puisque alors se serait nier les droits de la mère, étant donné que l’avortement serait considéré comme étant un meurtre. On renierait donc un fois de plus les droits de la femme enceinte à la liberté, à la vie et à la sécurité, ce que l’État libéral ne veut en aucun cas.
Ensuite, il serait intéressant de se poser la question si l’avortement est une action au niveau personnel ou public. Si l’on commence en prenant considération que l’avortement est une question personnelle, il faut savoir que l’État doit limiter ses interventions sur la sphère publique et s’abstenir d’intervenir dans la sphère de la vie privée. Ce que cela veut dire, c’est que si on dit que l’avortement est une question d’ordre privée, l’État ne doit pas intervenir et interdire cette pratique, puisque selon le libéralisme politique, l’État n’a aucun droit dans la sphère privée. Par conséquent, l’État ne peut criminaliser un acte qui est personnelle à la personne, généralement la mère. Mais si l’on considère, par contre, que l’avortement est d’ordre public, par exemple, en invoquant les raisons d’universalisation de Kant mentionné plus haut, voulant que l’avortement entraîne la chute de l’humanité, l’État ne pourrait pas davantage criminaliser l’action. En effet, en partant du point que l’État doit le moins possible limiter ses interventions dans les affaires publiques, et qu’en plus, l’État se doit de protéger les droits et libertés de ses individus, il serait contraire à ses devoirs s’il criminalise l’avortement. Effectivement, comme mentionné plus haut, l’avortement serait un piétinement total des droits et libertés de la femme/future mère. Par conséquent, l’État se doit d’être pro-choix et d’accepter l’avortement comme étant légal, et ce, peu importe l’opinion de ses dirigeants[3].
MOI
Quant à moi, je suis une militante pro-choix. Mon idée s’accorde donc avec celle du libéralisme politique. Je considère que peu importe la raison pour laquelle une femme veut avorter, c’est avant tout une raison personnelle. On ne peut s’y opposer, c’est avant tout une décision unique à la personne concernée, soit uniquement la future mère. Il est évident que l’avortement est un choix difficile à faire et à accepter. Pourtant, depuis la légalisation de l’avortement en 1988, on peut voir qu’il n’y a pas eu de montée spectaculaire d’avortement pratiqué au Canada. D’autant plus que nous pouvons nous considérer comme étant tout à fait dans la moyenne mondiale. Également, dans 50% des cas, il y a avortement parce qu’il y a eu une défaillance des moyens de contraceptions. Donc, lorsqu’on parle d’avortement, il ne faut pas monte sur ses grands chevaux. De tout temps, il y a eu des avortements, légaux ou non. Ceux qui les pratiquaient étaient nommés comme étant les faiseurs d’anges. Et ces avortements n’étaient pas toujours sécuritaires. Donc, la légalisation de l’avortement, non seulement garantis les droits de la femme, mais en plus, lui garantit un avortement sécuritaire, pratiqué par des médecins spécialisés et dans un endroit sanitaire et adapté, avec tous services requis en cas de complication.
Finalement, la légalisation de l’avortement au Canada reste encore et toujours un sujet épineux. Les partisans du mouvement pro-vie peuvent évoquer Kant et son principe d’universalisation, donc que si l’avortement devient un cas général, il y aurait une destruction de l’humanité. Mais quant à leurs opposants (dont je fais partie), les pro-choix, ils peuvent évoquer les droits de la femme à la liberté, la sécurité de sa personne et à la vie. Malgré tout, il faut savoir qu’il est difficile de juger une femme qui se fait avorter sans se mettre dans sa situation. Et étant donné que chaque situation est différente, on ne peut, en toute justice, que légaliser l’avortement afin que toutes les femmes soient égales.
[1] Il faut se rappeler qu’il est mort, donc qu’il n’a plus d’opinion.
[2] Car lorsqu’on parle d’avortement, il est toujours question d’État et de ses lois.
[3] D’ailleurs, il est inquiétant de considérer que présentement, le parti conservateur essaie de remettre en question la légalisation de l’avortement. Le Canada ayant une politique libérale pourtant, on ne peut que s’inquiéter de ces tentatives rétrogrades qui va à l’encontre des droits de la femme.
Emily Jane White - wild tiger I have know
Ah çà...
mardi 13 mai 2008
Changement de style
Vous me direz vos impressions.
m'enfin bref. d'ici bientôt, je commence à publier Noce de Cuir. Dès que cette putain de session est fini, promis.
lundi 12 mai 2008
La vie est une pute, épidode 4 825
Tannée d'une personne harcelante,
Tannée d'un duo horripilant,
Mon amour, quand me sauve-tu?
Ah oui, seulement dans 12 jours, parait-il.
Ce n'est pas parce que mon post est dans le libellé 'mauvaise humeur' que je suis nécessairement de mauvaise humeur. non. Je suis juste BEN de mauvaise humeur.
samedi 10 mai 2008
vendredi 9 mai 2008
Non mais, tout de même...
Mais est-ce que vous vous souvenez de la pub pour le diocèse de l'année passée? Une peinture montrant en gros plan le buste du Christ ensanglanté et avec, comme message 'Il a déjà donné'.
Je sais pas pour vous, mais... Culpabilité!!! C'est vraiment rien que comme ça que l'Église catholique québécoise fonctionne, faut croire...
Amélia
mardi 6 mai 2008
Ouééé!
De deux, y'm'reste plus que 12 dodos!!!!! ouais, la vie est so marvelous.
samedi 3 mai 2008
Les ti-canayens ont perduuus....
mais sinon, sur une note plus encourageante, nos habs nationaux sont déjà allé plus loin que l'année passée, alors imaginez l'année prochaine. D'autant plus que ça va être le centenaire des glorieux, donc ça serait cheap de leur part de ne pas finir avec la tite coupe Stanley, non?
...
ahahah, ouééé... je prends tout de suite rendez-vous chez le coiffeur, tien.
Je suis une baleine pathétique.
Pis aujourd'hui, météomédia m'a menti. Y'annonçait soleil, pourtant!...
Edit: finalement, même si je ne suis pas allez au party de mel (mel, je t'aiiiime!) j'ai quand même fait autre chose que de resté assis dans mon sofa à me tourner les pouces et à me morfondre sur l'absence de l'amour de ma vie. ET, note à moi-même. ne jamais sortir dans les bar-café-resto-etc-n'importe ou il y a une tv, le soir de match de hockey.
Eeh.
d'autant plus que le com' bizarre a l'air de provenir de quelqu'un de ma connaissance, mais je ne sais pas c'est qui. Je suis extraordinaire. Ouais.
vendredi 2 mai 2008
La Passion, selon Sainte-Moi
Selon moi, la passion est quelque chose d'éphémère d'évasif, de vaporeux. Et c'est ce qui fait son charme. (car oui, j'aime beaucoup la passion) La passion, parcontre, ça a pas le bénéfice de construire une vie dessus. La passion, c'est la passion. Et la passion, ça ne devrait pas durer.
Jamais.
Je m'explique.
À mon avis, la passion est un sentiment fort, intense, qui agit comme une sorte de catastrophe. La passion -généralement- il y en a en-veux-tu-en-v'là au début d'une relation. Le début d'une relation, c'est toujours passionné. On ne peut plus se passer de l'être aimé, on lui saute dessus dès qu'on le voit et (attention, je suis crue) on mouille en dedans de deux ou on se dresse comme un caporal dès les toutes premières effluves annonçant la venue de l'être (nouvellement) aimé. La passion, c'est intense, torride. La passion, c'est quand l'autre devient ton oxygène. La passion,... c'est la passion.
Mais est-ce que vous vous imaginez sincèrement vivre dans un amour passionnel le reste de votre vie? Un amour intense, fulgurante, aussi fort qu'au premier jour? (c-à-d, que dès sa seule vue, vous voulez lui sauter dessus et lui faire sauvagement l'amour tout de suite, même si c'est en pleine rue?) C'est que... voyez-vous, la passion, ça a de ça aussi que c'est particulièrement épuisant. Lorsqu'on vit dans la passion (et tout les amis de personnes nouvellement en couple passionnés me le confirmeront) vous n'avez qu'un seul sujet, l'autre. Qu'une seule image en tête, la face de l'autre. Qu'un seul but, voir l'autre. Qu'une seule ambition, sauter l'autre éternellement. La passion fait en sorte que vous vous éloignez de vos amis, que vous êtes incapable de fonctionner normalement, tout à la pensée de l'autre, incapable de sociabiliser (étant donner que les autres, c'est pas l'Autre), etc. La passion fait de vous un être particulièrement no-life.
Donc. La passion, c'est de la merde. Mais on s'entend! La passion, c'est bien, mais au début d'une relation, à certain moment fort, au moment de faire des pirouettes acrobatiques dans le lit, etc. Mais tout le temps? Nah.
Entre-temps, il faut qu'il y ait cette autre amour. Le vrai amour. L'amour qui dure, l'amour confortable, l'amour résistant contre les intempéries. Bref, l'amour Black & Daker. Cet amour-là, c'est la base d'une vie commune. C'est pas la passion, puisque la passion est éphèmere. La chute sera aussi longue que fut haute sa montée, qu'on dit. Ben justement. Parce que veux-veux pas, la passion, ça dure jamais. Parce que quand il n'y a que de la passion, y' pas d'amour Black & Daker. Et quand il n'y a pas de cet amour-là, le jour ou on s'aperçoit que l'autre pète dans son sommeil, la passion prend le bord assez rapidement.
Parce que, soyons honnête. La passion, au début, c'est bon. Mais la passion n'accepte que la perfection, autrement dit, l'illusion de la perfection. Tandis que, justement, l'amour Black & Daker, cet amour-béton, apprécie ces petites imperfections. C'est ce qui fait que quand on entend un *prout!* la nuit, on sourit, parce que l'être aimé est à nos côté.
*Message à mon compioutère de merde*
Aussi, message à mon anti-virus de fou: T'es pas obligé de faire une mise à jour automatique à toutes les 5 minutes, merci.
Dadi dadi dou-dou
Mais! changement radical de sujet:
J'AI ENFIN SIGNÉ MON *PUTAIN* DE BAIL!!!!!! wouhou!
On n'imagine jamais le soulagement de savoir ou on vas habiter d'ici 2 mois. Dans tous les cas, je déménage officiellement à St-Jean city on the river Richelieu le 24 mai au soir. *Joie! Joie!*
mardi 29 avril 2008
La vie est une pute, épisode 4 823, mais pas pour moi.
Et entre temps, j'ai ramassé une grosse guenille puante et toute mouillée, alias une de mes meilleures amies. C'est pas beau quand les gens qu'on aime sont dans le c***a.
Oh, et grosse new: J'AI ENFIN MON APPART!!!!! je vais signer le bail demain, ouééé!
Mes vêtements et moi.
samedi 26 avril 2008
Talons Hauts et Bouette de Vache
* bourgeoise et bohème
vendredi 25 avril 2008
Une question de point décimal. si, si!
Donc, selon ma calculatrice du fameux compioutere qui renaquit récemment, j'ai, en 15 mois d'existence, en moyenne 25.33 visites par mois. Donc y'a en moyenne 25. 33 personne qui vienne perdre son temps sur blog? Ouah. Je n'aimerais pas être la 0.33 personne, moi...
Nous pondons des oeufs et couic, couic ils sont doux...
mercredi 23 avril 2008
Un Slam Inégal
12h à 13h 30
Durant la semaine de la citoyenneté, nous avons eu une prestation d’un art et qui, de plus en plus, fait sa place dans le milieu artistique du Québec. Nous parlons du Slam, art déclamé qui nous provient de New-York est un art déclamatoire, une sorte de poésie fracassante lancée face au public. Nous avons pu voir ce mardi, durant Le Jeu du Grand Slam, six slammeurs déclamer leur poème. C’est une sorte de compétition, généralement en deux rondes.
Ce slam a commencé sur une mauvaise note. Quelques slammeurs, la peur au ventre, ont refusé de se présenter. Résultat, le temps de la prestation se trouvait quelque peu diminué. Évidement, ne connaissant pas les textes de ces couillards, il m’est impossible de dire si la qualité du spectacle s’en trouvait remonté ou non.
Tout d’abord, tout au long du spectacle, nous avons pu observer la présence tout à fait intéressante de Mario Cholette. Investigateur, avec Tréveur, de cette prestation et lui-même grand slammeur sur la scène montréalaise, il a pu nous livrer deux morceaux de sa poésie. Les textes étaient bon, bien dit, bien clamés. Ensuite, il se fit lui-même le poète sacrifié, ce qui lui permit d’animer la présentation du slam. De la sorte, nous avons pu assister à la prestation de Charles Dansereau (1e place), de Tréveur Prétuziello[1] (2e place), de Carolane Naud (3e place), de Jessica Legault, d’Alexandre Turcotte et finalement de Geneviève Roberge.
Évidemment, nous avons eu une présentation de slam étudiant. Ainsi, nous avons pu observer la gêne et le stress que cela génère sur certaines personnes. Par exemple, Carolane Naud, qui a raflé la troisième place, a très bien dit son texte, mais avant et après l’avoir dit, nous avons eu droit à ses élans de midinette timide, avec des rires hauts perchés et des mimiques ridicules. Cela ressemblait davantage à un oral dans un quelconque cours plutôt que d’une réelle prestation. De plus, il y avait de la part de certains participants un manque flagrant de préparation. C’est-à-dire que, il n’est pas interdit de ne pas apporter son texte sur scène, mais lorsqu’on ne le connaît pas, ça évite des blancs de mémoires inutiles comme ceux de Geneviève Roberge. De plus, une juste et bonne préparation nous aurait également évité le calvaire que nous a infligé la jeune Jessica Legault, qui nous a récité un slam à une vitesse infernale avec une voix plus discrète que celle d’une souris. Je serais bien en peine de dire si oui ou non le texte était intéressant, puisque, à la deuxième rangée, on n’entendait déjà plus ses paroles.
Fort heureusement, nous avons tout de même pu avoir d’excellant slam, interprété par Tréveur, Alexandre Turcotte et Charles Dansereau. Ce fut un pur divertissement de les écouter scander une poésie rythmée, avec un excellant choix de mots nous assurant une musicalité sans pareil. Évidement, ce fut pour certain un choix de sujet assez lourd, comme dans le premier texte de Dansereau, nous parlant de son besoin d’une certaine ‘Adèle’, ou bien également le premier de Pétruziello, nous parlant de la misère de la reconnaissance des poètes (slammeurs?). Mais en bout de ligne, nous avons finalement eu un texte un peu plus ludique, sur les aventures d’un matou roux, par Danserau, ce qui lui a assuré une première place bien mérité.
Finalement, Le Jeu du Grand Slam fut une prestation quelque peu inégale. Nous avons pu voir des prestations éclatantes, comme celle de Charles Dansereau (mon coup de cœur) et d’autre plus navrante, comme celle de Jessica Legault. La mise en scène était sobre, laissant place à toute l’énergie déployée par les participants. Aussi, dernière mention, que je donne à celui qui s’occupait de la musique et dont je n’ai pas pu savoir le nom, nous a offert des intermèdes musicales urbains, tous plus excellant les uns que les autres.
[1] Investigateur d’une ligue de slam au cégep du Vieux-Montréal
mardi 22 avril 2008
joie, batard!
Edit: ben, devinez quoi! l'horreur a décidé de remarcher! Je le dis en directe du compioutere! rholàlà...
Dialogue avec ma mouman
Mouman: C'est pourquoi tu veux aller chez Botanix?
Moi: Ben, m'acheter une motte de fleur, ç't'affaire!
lundi 21 avril 2008
Les Canadiens vont peeeeeeeeeeerdre!!! (et mon amour va donc se faire une nouvelle coupe de cheveux, j'en suis sûûûûûûre!)
Ce qu'est une lamelle de récit, selon Kafka
Mais là où le bat blesse, c’est lorsqu’une stupide étudiante, prise avec un stupide projet de fin de session/DEC se retrouve avec la nécessité de lier sa technique d’écriture1 et qui doit trouver des auteurs ayant des ressemblances avec son écriture. Écriture caméléon, ne surgissant et surtout, ne se terminant qu’avec un coup de pied au cul et un dead line approchant dangereusement, il se trouve qu’elle ne fut jamais réellement influencée par des auteurs dignes de ce nom. Par conséquent, n’osant suggérer que la seule 'influence' se trouve à être Marie Laberge2, se retrouve donc en mode recherche d’influences ‘supposées’.
Lamelle de récit : « Ah tien, ça ressemble aux textes que j’écris sur mes persos, sans rapport avec l’histoire, avant même d’écrire le récit en tant que tel. Ah wow, c’est Kafka en plus, ça fait sérieux. »
Recherche : « Ah putain, je me suis faite niaisée, ça existe même pas. »
1- rien qu’à l’écrire, je suis prise d’une crise d’hilarité
2- auteur honni du Cégep par tous les profs de littérature dignes de ce nom
samedi 19 avril 2008
Question: Qu'est-ce que j'hais le plus dans mes cours de français?
vendredi 18 avril 2008
Comment je m'arrange pour stresser encore plus
Malheureusement, se l'avouer arrange rarement les choses. Résultat, ce soir-ci n'a pas été plus productif que les autres...
mardi 15 avril 2008
Nostalgie d'un temps révolu
Ça m'a fait tout chaud au cœur...
Confession
Le pourquoi je ne fous rien ce soir (et les autres soirs)
lundi 14 avril 2008
vendredi 11 avril 2008
Histoire de cire à épiler
mercredi 9 avril 2008
Le sentez-vous, hein? hein?
mardi 8 avril 2008
Don't worry, be happy (Bobby McFerrin)
c'est pas parce que je l'écoute une trentaine de fois en boucle que je suis addict à cette chanson. loin de là.
Je dois être bipolaire
...
ah, mais non, c'est juste mes spm, i' parait.
lundi 7 avril 2008
SUNSHIIIIIIIIIINE! You come back!
Oui oui, on ne peut plus se le cacher, l'été vient (enfin) faire son tour. Y'était temps. Preuve indéniable, le nombre de ti-gars en short a fait un bond vertigineux depuis le début avril. En plus, j'ai essayé TOUTES mes jupes, et ça, ça ne trompe pas. J'ai vu toutes les petites modifications à faire sur mes robes (tiens donc, depuis l'année dernière, j'ai maigrie???) et mercredi, je les envoies direct à la couture.
Dehors, ça sent encore la vieille doritos moisi sur la rue Émery à Montréal, mais je suis prête à endurer tout, afin que l'été vienne me réchauffer le petit mou de cuisse. D'ailleurs, en parlant de cuisse, au moment ou j'essayais mes jupes, je me suis (hélas) rendue compte que celles-ci ressemblait davantage à de gros jambons blanc plutôt qu'à des cuisses sexy et estivales.
Finalement, pour répondre à la question si j'ai de quoi à écrire ces temps-ci, la réponse est largement non.
vendredi 4 avril 2008
On dépoussière le blogounet, missbarnik fait une aparition.
En attendant, quelques nouvelles sur ma quête désespérée de me trouver un *** de *** d'appartement dans la région de St-Jean sur Richelieu. Pardonnez le langage vulgaire, mais c'est de la marde (notez l'italique pour accentuer). Y'a aucun 4 et demi de potable. Et pourtant, mon amour et moi on est pas difficile, on veut juste que ça soit PROPRE. C'est tout. Pis, ben, c'est ça. Pour vous donner une idée, y'a pas de bail de signez. Je deviens de plus en plus un paquet de nerf, une vraie petite boule de stress sur le point d'exploser. J'aime pas ça.
http://desseins.fanzine.free.fr/
mardi 1 avril 2008
Irises after Van Gogh - Vic Muniz
Cette espace jaune, sous ce soleil éblouissant nous donne une impression d’auréole et immédiatement, dans ce sentiment jaunesque, on se sent vêtu d’une illumination mystique, la gestuelle devient scénique, on se trouve douze comparses et la dernière Cène se joue. C’est le jaune qui envahie, un vin blanc, s’il vous plait! Le sang du Christ, loin d’être rouge, ou bleu (si l’on se réfère à l’idéologie noblastique de ces grands de France) est plutôt… couleur de blé. Le grain coule dans nos veines, puisque nous sommes faits à l’image de dieu. Oh, pardon : Dieu.
L’idée du moment jaune, derrière la nuque, peut être amplifiée par cet autre élément, plus perfide, plus menteur : Le bleu.
Le bleu est une couleur complémentaire du jaune, faisant en sorte, selon les décorateurs intérieurs, ressortir une égalité que l’œil appréciera. Mais ne nous laissons pas prendre par ce charabia esthétique oh combien trop rationnalisé. Le bleu envahie l’espace et emmène avec lui, puisque c’est une couleur sociale, le froid intense de looong mois d’hiver dépressif où, dans la recherche de maigre réconfort printanier, le plus petit réchauffement planétaire est le bienvenu, voire même, souhaité. Nous ne comprendrons jamais que ledit réchauffement est déjà dans notre hiver vraiment trop froid.
Non, décidément, le jaune est repoussé par ce bleu, un peu ciel, on ne sait pas trop. Ce jaune (pauvre de lui) doit migrer vers un endroit moins confortable, et un peu plus gênant. L’intérieur du coude.
Tout le monde le sait, l’intérieur du coude est un endroit peu recommandable. On peu y trouver de tout. C’est parfois une nuque inconnue, qui fait obstruction à la lumière, ou même un dos détestable de largeur. On peut également y retrouver nombre d’objets indésirables et incommodant à la pousse des iris hivernaux. Car comme on le dit, les iris hivernaux, ça pousse là où ça pousse, mais pas là où il y a des pommes de terre. Ce vieil adage dit tout, le sujet est clos.
Le jaune, retranché dans cet endroit peu accueillant (et ma foi, fort humide par les temps qui court) se retrouve tranquillement transformé en couleur moutarde, vibrante par les tons foncés qui bouillonnent dans sa composition. Mais peu à peu, ce moutarde se fait dominer par ses sombres passions beiges et blanc coquille d’œuf. Ah! Il disparaît, là!
Et voilà qu’on entend rire le bleu, un peu turquoise, un peu marine, mais bien ciel, toujours caché sous la nuque. On comprend alors que l’été sera pluvieux, cette année.
mercredi 26 mars 2008
Extrait de Noce de Cuir, pour donner l'eau à la bouche!
Montée de lait
mercredi 19 mars 2008
Angele Dubeau & la Pietà - Les Beautés du Diables
J'ai toujours adoré cette pièce de je-ne-sais-plus-trop-quel-compositeur. un vrai délice pour les oreilles, selon moi.
Oh boy.
Je ne suis pas reconnue pour ma patience, en fin de session, loin de là...
mardi 18 mars 2008
Moment fort de ma journée
Avec un peu de chance, un miracle peut arriver. ... Ben quoi, vous ne me croyez pas?
* non, essayez pas, je ne sais pas du tout d'où provient ce petit rond de mou installé sur mon ventre depuis Noël...
jeudi 13 mars 2008
Joie de l'insomnie -Bonheur! Bonheur!
Ceci dit, je suis acceptée en bac en linguistique à l'Université de Montréal. Génial. Et je ne peux toujours pas vous annoncer l'autre nouvelle (tsé, celle que j'avais vaguement éfleuré, y'a un bout... me semble) parce que, RIEN NE BOUGE! et voilà. Y'a pas à dire, s'il existe quelque chose que j'hais au plus pas possible, c'est bien d'avoir l'impression de stagner sur place. Je vais bientôt prendre racine!
Oh et puis. Je vous avais déjà fait part de mon manque aigüe de chlorophylle, et bien, c'est passé à l'étape numéro 2. Je ne fantasme plus sur mon amour, mais la simple allusion à un gazon fraichement coupé, au doux clapotis de la piscine, à un sex on the beach bien glacé et au ultra-mini-bikini qui l'accompagne, et voilà, je ne me peux plus. Coco d'Amour, voilà, je te l'annonce par l'entremise de ce blogue illustrement inconnu, tu viens de passer en 2ieme dans ma longue liste de fantasme. Je t'aime pareil.
mercredi 12 mars 2008
The Best Site Of The Years (or of the season)
Non mais, c'est quand est-ce que la température va ENFIN se décider à arrêter de descendre et soudainement comprendre qu'elle est pas loin de -20 degré trop bas? Yé sensé faire une moyenne de 2 degré dehors, pas -17!!!
Pis pus de neige, aussi, siouplait. Y'en a marre, à la fin, BATARD! L'idée du réchauffement climatique et ses bouleversements climatiques itoo n'auront jamais aussi bien pris son sens. Pis avez-vous remarqué que pour les prévisions "14 jours", yannonce TOUT PLEIN DE NEIGE!!
ARG!
Question: Quoi tu fais, là? (mon amour)
Re-re-Edit: Regardez, là! la mise en page est super belle! Pourquoi? PARCE QUE JE L'AI RETRAVAILLÉ AVEC MOZILLA!!!