mercredi 31 décembre 2008

baby-baby

10 semaines et 2 jours. On va avoir notre bébé le 28 juillet!!
beau cadeau, ça!

lundi 22 décembre 2008

Les Joies de la Grossesse, Épisode 2

Je peux plus manger de sushi. Nenon, plus du tout. Y'a du mercure et ça c'est vilain. Et plus vilain encore, c'est les ptites bactéries pas gentilles que l'on trouve parfois sur les trucs pas cuit.
Alors moi, plus de sushi, donc. Je fais comment pour les 7 prochains mois?

vendredi 12 décembre 2008

Beurk

Ma soeur fait un party demain et n'ayant pas le temps de préparer le gâteau d'anniversaire de son amie m'a demandé de le faire. J'ai décidé de faire un gâteau de crêpe au chocolat et framboise. Ben, les crêpes sont faites, la ganache aussi, mais le gâteau n'est même pas encore assemblé que j'ai déjà mal au coeur. Beeeuh...!
Mais hein, avez-vous compris, vous? Je fais le gâteau d'anniversaire pour l'amie de ma soeur qui ne sera pas fêté demain. wow. Tout cas, il va être fait!

jeudi 11 décembre 2008

mardi 9 décembre 2008

Les joyeux symptomes de ma sympathique grossesse

-Chus fatiguée
-Chus fatiguante (mais si vous me le faites remarquer, c'est au péril de votre vie)
-J'ai mal au coeur
-J'ai tout le temps la nausée (pas pareil, hein!)
-J'ai mal à la tête
-J'ai mal, mais mal aux seins! faut même pas les regarder que c'est douloureux...
-J'ai mal au ventre
Faque c'est ça. C'est l'fun, hein? Parait que ça va se calmer dans les environs de 3-4 mois. Eille, j'ai chus même pas sûre d'avoir 1mois et demie de fait, m'a faire quoi, moi?
Mais hier, pour la première fois depuis que je le sais, (3 semaines, j'crois) au lieu de penser 'au' bébé, j'ai pensé à 'mon' bébé.

lundi 8 décembre 2008

baby-pipi

être enceinte, c'est boire un verre d'eau et le pisser deux secondes plus tard.

vendredi 5 décembre 2008

Grande phrase philosophique

Laver un chat, c'est pas aussi facile qu'on le croit.

jeudi 4 décembre 2008

2 nouvelles adresses

Bon, je viens de vous dénicher 2 nouvelles adresses.
La première, Les Banlieusardises. Ce n'est pas nouveau comme site, mais c'est tout de même que très récemment que je l'ai découvert. Très intéressant et bien fourni, ce blogue touche à toutes les facettes de la vie de famille (du moins, la sienne!).
Et si demain... Nouveau blog tout récent, belle photo et petit texte à la fois naïfs et poétiques. On en redemande!

Vieille publicité

Eille, ça m'incite comme tellement à aller travailler au macdo! Wow! Quelle qualité de travail inouïe! On se peut plus, là! Ah ben shit, je peux pas! Je ne suis pas a young men, je pourrai donc pas faire partie de leur great team! Ben zut alors!


Confession

Ce qui est bien avec moi, c'est que j'ai assez de patience pour admettre que je n'en ai pas du tout.

lundi 1 décembre 2008

Lavage?

Je pense que mon chat essait de me dire quelque chose: il passe sa vie dans le panier de linge sale.

jeudi 27 novembre 2008

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA

Quand hier matin j'ai été faire mon ti-pipi du matin, je m'attendais pas à ça. J'ai fait le test parce que, hein, je suis paranoïaque. Pis quand j'ai vu que la tite barre était pas du bon côté j'ai fait 'eurlg!', mais 'ouf' en même temps. Et comme j'allais le jeter, y'a comme eu un machin incrédibule qui est survenue. Y'a comme une seconde barre qui apparaissait tranquillement.
Ch't'enceinte.
J'ai toujours cru que, quand on tombe enceinte, on est comme illuminée par la grâce. Y'a un genre de rayonnement par l'intérieur. Tsé, on l'sait, me semble quand on est sur le chemin de la mamanité? Ben non. Pas moi. Moi, j'avais mal au ventre, des crottes d'yeux encore dans les yeux et les chatons qui miaulent à qui mieux-mieux, pour avoir de l'affection. (en fait, non, juste Sacki) J'avais rien de cute. Niop, pas pantoute. Durant 2h, j'était dans un espèce de détachement, de désincarnation, parlant de moi à moi à la 3ieme personne. C'était juste pas réel. Nenon. Je me fais des idées, that's it. Chus folle. L'aut' tite barre, 'a l'existe même pas. Si, si! Je faisais le dîner et c'était moi et pas moi en même temps.
Ensuite, Caillou est arrivé. Il m'a dit 'salut, ça va?' et moi j'ai répondu 'non' en garochant le test sur la table. Pis j'ai braillé. Dans le genre pas cute du tout.
Faque c'est ça. presque 2h plus tard, c'était décidé, on le gardait.

samedi 22 novembre 2008

Le palais des nains.


J'ai découvert cet article il y a quelques jours. Je ne me souviens pas trop comment j'avais réussis à tomber sur ce genre de chose. Toujours est-il que ça a vachement piqué ma curiosité.

Saviez-vous que Montréal avait, il y a un temps, abrité une partie de la royauté naine d'Europe? Nah? Ah, ben si, faut croire!




vendredi 21 novembre 2008

oh...

Ces temps-ci, la vie est plate, je n'ai rien de neuf sur le plateau et encore moins à raconter. Je suis apathique et plus je le suis, plus je deviens léthargique, amorphe et dénué de toutes ambitions ou de pulsions vitales. Je passe mon temps à vacher avec mes chats (mais ça ne fait que dormir, ces machins-là!) et tenter péniblement de faire mon ménage.
Mais sinon, 2 ti-blogs nouveaux:
Mon petit nombril, blog d'un papa québécois (que je soupçonne montréalais, même...) très sympathique et rigolo.
Mon beau sapin, blog afin de venir en aide au démunis français. je sais, français. mais c'est des petites bd, une par jour, que l'on va voir. et chaque clic-clic! sur le site, chaque visite, quoi, un don est donné à la croix-rouge. Ça vous fera votre B-A de la journée et c'est très bon en plus!
Sinon, My Miself and U deviens 'Mettre les vidanges au chemin'. Changement d'adresse, changement de direction, mais toujours la jolie mel qui écrit. go go, ma belle!
that's it pour aujourd'hui, je vais donc de ce pas continuer à vacher avec sacki et iris, les chatons montrueux. (mais salement, alors!)

vendredi 7 novembre 2008

Tsé veut dire

Ça n'y parait pas comme ça, mais surveiller et soigner deux p'tits chats, c'est plus épuisant qu'on ne le croit...

jeudi 6 novembre 2008

question: koss m'a faire de ma journée?

Réponse: eeeeh, z'aimez-mieux pas le savoir, c'est moi qui vous le dit...

mercredi 5 novembre 2008

Obama vainqueur!

Rien a dire de plus, sinon que je suis sur le cul. Les Américains, intelligents? Qui l'eut cru!
Oh! nouvelle venue dans la famille! En plus de MissBarnik alias moi-même, de Caillou et de Sacki le chaton monstreux, nous avons maintenant Iris, la mini-chatonne qui, euh... fait juste dormir pour l'instant!

mardi 4 novembre 2008

vendredi 31 octobre 2008

Bah oui, je déprime encore

Et je suis assez cheap pour vous refiler une 2ieme fois un même vidéo. Mais je suis salement déprimée. J'y parviens vraiment toute seule, i know. Mais la fatigue, la solitude, le dépassement, hein. Que veux-tu. C'est ça qui est ça, et c'est ça que j'écoute présentement en boucle, en boucle, en boucle...


Une question de plancher

Ma boss m'a quasiment accusée d'être trop bonne vendeuse.
Je suis perplexe.



Et j'en ai un peu marre, aussi.

mardi 28 octobre 2008

Eille non mais, hein!

28 octobre: il neige.
...
Nooooooon!!
...
...
L'été est bel et bien fini. Zut!...

lundi 27 octobre 2008

Les Pommes - eh qu'on est dont cute!




Tant qu'à faire

SOS Cuisine - Génial
Ô-Délice - pas pire pantoute!
Recettes du Québec - y'a des fautes d'orthographes, mais en cherchant bien, on y trouve de vrais ptits chef d'oeuvres culinaires.

si j'pouvais, j'en tabasserais bien 3-4

Il n'y a rien de plus désagréable de se voir impuissant à sauver les autres, à savoir, quelques amis proches dans le besoin. Quand on veut pas se faire aider, malgré tout les brain wash du monde et les grands discours, y'a rien qui va marcher.
Mais bon, dans tous les cas, voici une découverte que j'ai fait récemment: Bonnes Vacances. C'était le coup de coeur de la semaine!

vendredi 24 octobre 2008

hoho

Le bénéfice d'une gastro/intoxication alimentaire c'est que, rendu jeudi, l'épicerie coute pas cher.

amm?

Je me souviens que c'était absolument charmant, plein de finesse et d'esprit, ainsi que d'une fraîche profondeur, comme une fois n'est pas coutume, mais venue le temps de l'écrire sur ze blog, je l'avais complètement oublié.

jeudi 23 octobre 2008

Cauchemar

En dormant, je me suis mordue la lèvre et je me suis souvenue d'Ex # 2 qui embrassait comme un chameau. Répugnant.

Moi et mon esprit tordu de Miss Romantique

Moi, des fois, je me prends pour une marieuse de pacotille. Je vois des flamèches d'amour véritable partout où il n'y en a peut-être même pas l'ombre d'un soupçon. Et j'essais d'arranger les choses avec mes gros sabots. C'est pas qu'on me voit arriver à 100 à l'heure, mais... Hohoho!!! Me fait ben du fun, quoi!

mardi 21 octobre 2008

Un homme malade, c'est dont malade

Caillou, l'homme de ma vie, a contracté une groooosse maladie (tite gastro, quoi). Par conséquent, par solidarité masculine, Sacki le chaton monstrueux l'accompagne dans son état cadavérique.
Présentement, j'ai deux corps morts dans mon lit!

lundi 20 octobre 2008

on a les amours qu'on a

Pour Sacki le chaton monstrueux, les crayons/craque de lit ou sofa/les bouchons de bouteilles de bière, y'a comme une longue histoire d'amour entre eux.

samedi 18 octobre 2008

feu feu, joli feu

Mon alarme incendie est tellement compétente que, si j'ai le malheur de prendre une douche trop chaude et trop longue, je dois absolument sortir en vitesse de ma salle de bain encore pleine de savon afin d'agiter frénétiquement une serviette en-dessous de la-dite alarme.

Miss politique en retard de 4 jours

Mercredi matin dernier, Harper a été réélu. Quelle muerde. Mais bon, fallait s'y attendre, hélas. Si les élections ont donc été passablement inutile en ce qui concerne la quasi totalité des réélections des mêmes députés, les élections ont eu ceci d'intéressant:
LES PANCARTES ÉLECTORALES!!!!
Eh oui, ce n'est pas une illusion, je vais encore parler des pancartes électorales! Oh, mais pas grand chose, hein!
Donc, j'ai remarqué que le style 'pancarte-je fais-une-pub-pour-mon-dentiste-avec-mon-sourire-éclatant était encore très à la mode. Ouais ben, kosse vous voulez, je ne peux pas faire grand chose à ça. MAIS!!!! Avez-vous remarqué les pancartes des conservateurs??? Pas des députés, nenon! Celle où on voit la binette très-ken-avec-un-balais-dans-le-cul, j'ai nommé notre cher (à notre grand malheur à tous) re-nouveau Premier Ministre? Ouiiii!!! Celle là! Incroyable, non?
Pour ceux qui ont hiberné les deux dernières semaines, je m'explique: La pancarte où l'on voit Harper est complètement sublime par son originalité, tout en étant toute simple. On voit Harper sur un fond jaune. Rien d'incroyable jusqu'à là. Mais la photo de Harper est une photo 'pris sur le vif'**ce qui fait que l'on voit notre cher PM, souriant, mais ne regardant pas de face les passants. Ce qui le rend tout à fait chaleureux et invitant à voter pour lui!! Au lieu du regard eh-que-j'ai un-regard-franc-et-direct, nous avons un PM qui regarde 'el sait pas trop, mais qui a l'air tout à fait simpathique!! Ah! si ce n'était pas un conservateur, j'aurais quasiment voter pour lui!
Autrement dit, la seule bonne chose que le parti conservateur aura amené au Canada, c'est sa pancarte. Et moi je vous le dit: ça, c'est une véritable petite révolution de la pancarte électorale...!

vendredi 17 octobre 2008

Xeno

Vendredi dernier j'ai encore entendu dire par un habitant de mon trou que Laval (je suis très fièrement lavalloise) était une MTS, en autre chose. C'est drôle comme les gens des p'tits villages creux et perdus sont xénophobes, on dirait qu'ils ont peur de ce qui est inconnu de leur (petit) champs de vision.
Ça fait pitié.
Mais ça reste quand même insultant.

lundi 13 octobre 2008

Bon!!

Moi, ces temps-ci, je suis un titinet soupe au lait. Donc, je veux un titinet étrangler à peu près tout le monde. Pas besoin d'avoir de raison valable, les autres respirent, les maudits, m'a toutes les tuer, batard! Mon Caillou-coucounet est (selon moi, et vraiment juste selon moi, quoique...) est lésé? Oh *** de ***, se sont tous des chiens sales, maudits humains!! Des clients? Moi qui a toujours eu une patience d'ange béni des dieux avec les clients, même plus récalcitrants, ben là j'vas toutes les pendre par les pieds à un ventilateur en marche, les gentils comme les pas gentils, bon!!
Pis, si y'a un *** qui pense que chus dans mes spm, ça fait 3 semaines que chus pas d'bonne humeur, bon!! Pis Monsieur le Test de Grossesse est négatif, bon!! Pis j'prends la pilules, gang de pas cool!! Là, là!!
Maudit que z'êtes gossant à me lire, ça tu d'l'allure, ça quand même...!! Voyeur!!

mardi 7 octobre 2008

Fatalité

Le combat contre la poussière est, à ma grande horreur, un combat perdu d'avance.

mardi 30 septembre 2008

Wouhou!!!

Aujourd'hui, ça fait 1an jour pour jour que Caillou et moi sortons ensemble!!!
Iiiiih!!! que je l'aime!!!

samedi 27 septembre 2008

479-459

J'ai vu sur mon profil qu'il y avait 479 consultations dudit profil depuis à peu près 1an et demi. My god. Considérant le fait que j'ai bien dû y aller une vingtaine de fois depuis la conception du MissBarnik Blogue, y'a quand même 459 personnes qui se sont perdus chez moua.
Pis j'sais pas si je devrais être gênée ou fière.

t'inez

v'là un blog d'une amie à moua. Ah, pis j'ai également rajouté des sites à aller voir ABSOLUMENT dans ma barniklink. See this and that, et admirez mon goût légendaire. Y'en a d'autre de nouveaux, mais c'est mes deux coups de coeurs. gne!

J'sais pas, moi...

... Mais maudit que c'est toff pour ma caboche de faire des ti-dodos la nuit, batard.

...

Pénélope
Adèle
Olivia
Samuel
Alexandre
Antoine

mercredi 24 septembre 2008

Nous, on n'est pas aimé de Poste Canada

C'est étonnant de voir que, depuis que Caillou et moi avons emménagé dans ze nid d'amour, on reçoit VRAIMENT davantage de lettre pour l'ancien locateur que pour nous.

Une envie soudaine de...

... me faire un pédicure à minuit 26. Heureusement, je n'ai que vidé le lave-vaisselle.

Culture en péril



ouh que j'aime cette vidéo. Phoque? Fuck? hin hin...!

J'aime bien le saut entre...

... 'prendre une session off' et 'quitter l'école'. Y'a comme un 'pour toujours' définitif sous-entendu dans le deuxième énoncé, non?

So what?

Je n'ai jamais dit que j'étais quelqu'un de gentil. Comme ça, je peux faire plein de vacheries.

mardi 23 septembre 2008

Et voilà

L'indécision a eut raison de moi. J'ai laché l'université. Oh, rien qu'une session, histoire de trouver ze programme taillé sur mesure pour moi. Mais bon, je regarde, je regarde, et je n'ai pas l'impression de trouver ze truc qui me fasse tripper pendant 3 ans. Que des choses que je trouve barbante et ennuyante à l'avance. Et pendant ce temps-là, je me dit que j'aimerais bien aller en immobilier.
Mais c'est juste une attestation d'étude. Pas un vrai diplome dans ma ptite tête à moi. C'est nul, quand on s'est forcé le cul pendant des années, à avoir les notes pour, y rêver à chaque cours, et finalement, ne pas aller à l'université!

mercredi 17 septembre 2008

Vegetable

à la quantité d'eau que mon chat boit, je suis persuadée qu'à long terme, il se transformera en céleri.

samedi 6 septembre 2008

'ÇA'

Moi, le moment où je suis le plus porté vers ça, que je suis vraiment dedans, c'est tout de suite après une comédie romantique.
Et quand est-ce que j'écoute des comédies romantiques? Quand je suis toute seule, et que Caillou m'a lâchement abandonnée. Et l'effet comédie romantique ne dure pas trois jours.

mardi 2 septembre 2008

eh bin

C'est perturbant de penser que je n'ai pas réponse à tout.

samedi 30 août 2008

Blanche, 2002

Bon. Vu que j'ai été lâchement abandonnée par Caillou, alias l'homme de ma vie (qui n'est pas chauve du tout, on s'entend) un vendredi soir, dans une ville où je connais peu de gens (à la limite de pas du tout) j'ai décidé de louer un film. Moi, qui habituellement juge toujours favorablement les films français, j'ai eu le malheur de tomber sur une horreur, sorte de film français historique (on parle, j'ai cru comprendre, du roi soleil. Et il y a aussi eu l'apparition (ô combien désolante) de d'Artagnan(???)), le tout, à la sauce western. Cherchez l'erreur.
Bref, ce fut comme la version français-film d'époque du film américain SuperBad. J'en saignais du nez tellement c'était horrible pour l'intelligence. Et vraiment, plus j'y pense, plus les ressemblances sont frappantes, par exemple: SuperBad: fuck! fuck! Blanche: putain! ta race!
J'ai rarement vu un film aussi pitoyable. Et les dialogues... oh la vache, je crois que c'est ce qui m'a le plus traumatisée: Ça crie tout le temps (mais pourquoi? à la longue, ça irrite la gorge) et c'est un mélange désastreux des tournures entourloupées de Molière et du langage de rue parisien actuel (verlan, je crois...?) À n'y rien comprendre. En tout cas, moi, à 11h 30, je n'y ai pas compris grand chose.
Enfin, le film était nul, voilà. Et à minuit 41, j'ai droit de chialer, nah. Ah, j'oubliais. L'héroïne, là, Blanche de Péronne. Complètement folle. Si, si, c'est moi qui vous le dit. Givrée solide, même.


oh, misere, juste 1h moins le quart... la nuit s'annonce longue avant ce matin...

jeudi 21 août 2008

Question: Qu'est-ce qui est le plus amusant, around the world?

Réponse: pogner un rhume d'air clim' durant l'été.

mardi 19 août 2008

misere!

moi. cherche. travail. urgent!!

mardi 12 août 2008

J'ai adopté un écureuil sans le savoir.

La meilleure recette pour des courgettes?

Vous prenez de belles courgettes, les lavez et les coupez dans le sens de la longueur. Ensuite, faites chauffer à bake votre fourneau à 400.

Vous mettez vos courgettes sur une plaque à biscuit, mettez du sel afin de les dégorger et saupoudrez généreusement de fromage parmesan.

Puis, vous les mettez au four durant 15 bonnes minutes.

À la sortie du four, attendre 1 minutes (chaud! chaud!) puis, dégustez.

En entrée ou comme légumes du plat principal.

Écoeurant, je vous dit.

mercredi 6 août 2008

Mon chaton n'est pas un chaton


C'est le plus joli des pitits monstres à 4 pattes...!

jeudi 24 juillet 2008

Nouveauté


J'ai un petit chaton!!! Qui grimpe dans le grillage de la porte-patio, qui bouffe tous les fils électriques et électronique de Caillou, grimpe sur la table aux moments innoportuns, s'amuse à se cacher sous le lit, à nous sauter sur les orteils à 2h du mat', à nous voler nos oreillers (noon, à moi!), à dormir sur nos claviers d'ordi, mais à ne jamais dormir la nuit, et s'il dort, c'est sur le rooter de l'internet ou sur la *fragile* bibliothèque qui menace de s'effondrer au moindre regard sous-entendu, à quêter comme un chien et à ronronner comme un bon au moins 50% du temps

On passe 50% de notre temps à le chicaner (Sacki, NON!!!) et 50% du temps à s'extasier sur sa mignonne petite bouille de monstre. Ci-haut, photo du monstre en question, j'ai nommé, Sacki, viril petit chaton monstrueux de 2 mois et demi.

jeudi 17 juillet 2008

Pantoute!

Le sypton, suite et fin du prologue

-Mais, mais les gens de la cour? De la ville? Que feront-ils?

-Plus tard, vous devez fuir! Le petit caporal prit le bras du premier Érudit qu’il trouva à sa portée et se dirigea vers la porte camouflée dans la pièce qui menait vers le tunnel secret qui reliait la Salle du Grand Conseil à l’extérieur de la ville. Il commença à actionner le mécanisme d’ouverture de la porte lorsque soudain, il y eu un grand bruit, suivit d’un silence. Puis un cri. La muraille du Palais Blanc avait été détruite, les envahisseurs marchaient maintenant sur la ville. Le visage du Grand Érudit blêmit. Il serra le petit objet cylindrique contre sa poitrine, marmonnant quelques paroles inaudibles. Un filet de bave coulait sur le bord de ses lèvres sèches et ses yeux, aux regards aussi innocent qu’un petit enfant cherchait un réconfort qui ne viendrait pas. Le Grand Érudit de la Glorieuse Vallée Blanche de Brass était complètement sénile et incapable de régner sur le plus important royaume d’Ephem. Alors qu’il était là, à chercher du réconfort, serra l’objet contre sa poitrine décharné comme un doudou, il eu un éclair de lucidité. Il chercha des yeux le plus jeunes des Érudits, Augustus. D’une démarche hâtive, il alla directement vers lui.

-Augustus, vous devez cacher le sypton! C’est ce qu’ils veulent, le sypton! Allez-y tout seul, nous resterons ici. Nous les retiendrons, nous les retiendrons loin de vous autant que nous pourrons, mais il vous faut absolument mettre cet objet en sûreté, loin de Phelter! Vite!

L’Érudit Augustus prit le petit objet cylindrique et le glissa dans la poche de sa veste. Il repoussa le petit caporal et actionna le mécanisme. Derrière lui, le Grand Érudit fit part de sa décision aux autres Érudits dans la salle. Ils se sacrifieront tous pour la sécurité du petit objet cylindrique. De toute manière, ils étaient tous au seuil de leur vie. Les gardes acceptèrent leur décision et se mit en position de défense, selon les ordres du petit caporal.

mardi 15 juillet 2008

Je adore que trop la webcam de Caillou.




et faire des faces bizarres.

...

Heureusement que je suis en couple, parce que ce n'est pas avec ça que je vais pogner!

héhé

J'adore les gens qui répondent à toutes mes questions indiscrètes.

Note à moi-même:

Je ne suis PAS l'incarnation sur le tard de Mère Tereza.

vendredi 11 juillet 2008

Maman! le vernis rose est (presque) finit!!!!


Malgré un talent plus que douteux pour le vernissage en mode rose de tout ce qui s'apparente à des ongles sur mon corps, couche après couche, je m'obstine à toujours me barbouiller plus.

Le sypton, avant goût

Le souffle court, l’Érudit Augustus avait les yeux exorbités, encore vêtus de sa chemise de nuit, les cheveux en batailles. Les autres grands hommes de la pièce n’étaient guère en meilleur état que lui. Réveillés durant la nuit, ils s’étaient tous habillés au milieu des fracas venant des batailles à l’extérieur des murailles. Des cris de gardes tués, les hurlements des ordres des lieutenants du corps de gardes, le bruit de la ferraille et des boulets contre les murs de la ville de Nimina, chaque parcelle du monde sonore était occupée par la bataille. Les Érudits, tous des vieillards, tremblaient devant la fureur des attaques. Ils se regardaient entre eux, ne sachant que faire, frémissant d’horreur à chaque hurlement. Un petit caporal de l’armé du Royaume de Brass fit soudain irruption dans la pièce.

-Mais… Mais… où est le général Forbio? Marmonna d’une voix tremblante le Grand Érudit, tournant nerveusement dans ses mains desséchées un petit objet cylindrique. Le petit caporal était accompagné d’un dizaine de garde du Palais Blanc.
-C’est les rebelles du Voile Noir, monseigneur, qui attaquent. Vous devez fuir vite, la ville tombera bientôt, les rebelles envahiront les rues. Je connais leur dirigeant, il n’a aucune pitié, il vous tuera tous, sans la moindre hésitation, vous devez fuir!

mardi 8 juillet 2008

maybe

Quand on veut s'endormir, bouffer du Nesquik à 4h 28 du mat' est rarement la meilleure solution.

ahem

avez-vous remarqué que stm (société des transport de montréal) ça faisait mts (maladie transmissible sexuellement) à l'enver? Ça explique sûrement le pourri du service de la stm, à mon avis...

lundi 7 juillet 2008

aaaaaaaa... TCHOUMMM!!

ah la vache, que ça sent la poussière ici... en même temps, il faut dire que j'ai oublié de mentionner que je suis en vacances... Pas en vacances du genre "voyages", niop, pas assé de moni. Mais, tout le monde le sait, les vacances étant les vacances, même si on reste chez soi et qu'on ne fout rien de la journée, la vie étant ce qu'elle est, on ne trouve quand même pas le temps de mettre à jour le blogounet adoré. Quoique, il faut dire aussi que je nage dans mon petit jus de bonheur, alors je n'ai rien à raconter. Donc, plutôt que d'annoner des platitudes, j'attends le début de l'univ' et le blogounet va reprendre du poil de la bête. En attendant, je dors et je bouffe, that's it!

samedi 7 juin 2008

jeudi 5 juin 2008

Aaah, ces napolitains!

Le problème avec la crème glacée napolitaine, c'est que je me retrouve toujours avec deux spots de crème glacée immangée. Soit celle de la fraise et de la vanille.
Je me demande toujours pourquoi est-ce que je continue à acheter cette sorte, plutôt que chocolat-chocolat...

lundi 2 juin 2008

La vie est une pute, épisode 5 712

NON MAIS!!!! MAIS QUELLE VIE PUTASSIÈRE DE MERDE!!!!! Moi qui étais en pleine extase estudiantine, en trouvant ze programme à l'université, qu'est-ce que j'apprends? Ben oui!!! Que mon putain de programme sera finalement fermé d'à partir d'automne 2008!!! Non, mais!! Ça fait 2 ans que je me fais chier dans des cours de littérature, pour pouvoir enfin parvenir à mon précieux petit programme de linguistique et ÇA me tombe dessus!!! C'est quoi, va falloir aussi que je me tape 3 autres années de bac merdique pour pouvoir ENFIN accéder à la linguistique en maitrise?? Avoir su, j'aurais été à l'UQAM, la situation aurait été la même, mais la distance à parcourir pas mal moins longue!!! Non mais, c'est quoi cette merde-là???
Et pour information: oui, je suis en ***!!!!!!!

vendredi 30 mai 2008

ouiiiiiiiiii!!!

J'ai maintenant une job! Non, mieux, j'en ai deux!!

jeudi 29 mai 2008

Première contastation...

... lorsqu'on déménage dans un endroit où l'on ne connait personne:
MAIS JE M'ENNUIIIIIIIIIIIIIE!!!

Voilà, j'ai passé la balayeuse, j'ai ait tomber tout les CD, je me suis fait les ongles d'orteils, passé en revue tous les site rigolo que je connais et je suis là, à me tourner les pouces, en repoussant le bonheur de faire la cuisine. Parce que, hein, on s'entend. C'est pas que j'aime passionément faire la cuisine (modérément, comme tout être normal) mais je n'ai tellement rien à faire (et je commence à en avoir marre de faire du ménage et défaire des boites sans trop savoir où mettre le stock) que le moment ultime de faire de la bouffe est devenue égale à un orgasme.

Et en plus, ma fabuleuse recherche d'emploi ne semble pas aller sur une bonne pente. Ayaye.

Bon, je ne peux plus reculer, la bouffe m'attend. Merde, c'est quoi je fais à bouffer??


* Petite Montée de Lait*

mercredi 21 mai 2008

allergie au devoir

à trop faire de devoir, j'en ai mal au ptit doigt droit. Si, si, je vous dit. Bon, c'est certain que j'ai aussi mal aux 9 restants et aux deux mains qui les supportent, mais le ptit doigt droit, là... c'est le pire.

edit: pendant un certain temps, mon ordi avait arrêter de se prendre pour R2D2, mais là, il recommence. Mais quelle vie putassière, non mais!

La vie est une pute, épisode 4 877

Non mais, ce blog ne marche décidément pas, et mon ordi se prend encore pour R2D2. Bip Bip!

Un petit bijoux de littéture, caché sous des airs fleurs bleues - Odette Toulemonde et autres histoire, Eric-Emmanuel Schmitt (2006)

Alors que l’ère du roman est à son apogée, Éric-Emmanuel Schmitt a sorti en 2006 un petit bijou de littérature, sous forme de recueil de nouvelles. Mais avec un titre aussi banal que celui d’Odette Toulemonde, nul n’aurait cru que l’on pouvait retrouver huit nouvelles aussi charmantes que profondes dans ce livre. Ce livre fut écrit lors du tournage du film du même nom, réalisé par Schmitt lui-même.

Schmitt est un écrivain réputé de par ce monde. Ce monstre de littérature française est né en 1960, docteur en philosophie, il s’est avant tout fait connaître pour la qualité et l’excellence de ses pièces, souvent récompensé, voir même encensé, comme par exemple Le Visiteur, pièce de théâtre réalisé en 1993 qui a valut à Schmitt trois Molières d’Or. Bien qu’il ait écrit beaucoup de pièce de théâtre, il s’est également mis à l’écriture du roman, comme le démontre son Cycle de l’invisible. En incarnant un véritable touche-à-tout, il s’est ensuite mis à la réalisation d’un de ses propres textes, Odette Toulemonde, parut à l’écran en 2007. L’écriture du recueil s’est, comme je l’ai précédemment mentionné, écrit durant ce tournage.

Ce livre est un recueil de huit nouvelles fort différentes, mais ayant tous comme but d’encenser la femme, et sa recherche du bonheur, sa quête du bonheur. Mais au premier abord, ce livre peut sembler un peu quétaine, au relent suranné d’un kitsch débordant. Les personnages, chacun personnifiant un cliché en quelque sorte, (la milliardaire croqueuse d’homme, l’ouvrière pauvre, mais ô! combien heureuse) vit une histoire quelque peu banal, dont on se serait attendu davantage d’un écrivain un peu fleur bleue et débutant que de Schmitt, qui est un écrivain connu à travers le monde pour l’excellence de ses écrits. C’est, à vrai dire, le genre de livre qui, à première ressemblerait davantage à une mouture de Marc Levy, pour son romantisme gluant et les thèmes abordés (le bonheur, l’amour, etc.) Mais contre tout attente, le livre plait.

L’écriture plait, elle est fluide, coulante, se lit bien. Schmitt utilise un langage somme tout courant, afin de bien cerner ses personnages, sans trop de fla fla inutiles. Les personnages, quant à eux, sonnent tous incontestablement un peu cliché, et se ressemblent tous un peu. On peut effectivement voir un talent certain pour les langues (jusqu’à 6 langues parlées pour certaines!). Mais chaque personnage, un peu banal en soit, parfois même mal développé et un peu bancal (ne pensons qu’à la nouvelle Le Faux) doivent faire face à la maladie, à la mort, à la vieillesse, la solitude, etc., étalé de manière candide et fragile qui, sous un voile de surannée, révèle nos propres faiblesses et peurs.

De plus, la nouvelle principale du recueil, Odette Toulemonde démontre la fragile relation qu’entretient un auteur de best-seller, face à ses lecteurs et à la critique littéraire. Une nouvelle attendrissante, quoiqu’on ne puisse la considérer comme étant la meilleure du livre. On ne peut s’empêcher de faire un parallèle entre l’auteur dans la nouvelle, Balthazar Balsan et l’auteur même du livre, Eric-Emmanuel Schmitt. Quand on connait la vie de l’écrivain, on ne peut en effet s’empêcher de voir une sorte de clin d’œil, d’auto-fiction sur sa propre vie.

Mais si la nouvelle Odette Toulemonde n’est pas la meilleure, celle intitulée L’intruse révèle néanmoins le talent certain de l’auteur pour nous donner des pistes, nous entraîner dans une histoire absurde et plutôt standard au premier coup d’œil pour finalement porter le coup final et nous laissé médusé, devant le génie de Schmitt pour nous démontrer une réalité d’angoisse et de tristesse, au travers d’un regard malade par la vieillesse. Cette nouvelle est, selon moi, le petit chef-d’œuvre caché de ce recueil.

Si certaines nouvelle nous laissent sur notre faim, d’autres nous stupéfient par leur capacité à nous toucher, par des thèmes qui, comme je l’ai mentionné plus haut, nous ressemblent. Chaque nouvelle a son univers propre, avec son thème propre, ses personnages clichés, mais dont on n’aurait pu se passer. Le message de Schmitt, loin d’être moralisateur, passe par la candeur que reflète chacune de ces historiettes, bonne pour nous faire réfléchir sur notre regard face à la vie, l’amour, la solitude, et autres grands questionnements humains. Pour apprécier ce recueil, il faut passer outre la mièvrerie qui, effectivement, transperce ces pages. Mais une fois passée cette étape, nous ne pouvons qu’apprécier ces histoires qui, sous une apparence trompeuse, sont plus profonde qu’on y aurait cru.

Odette Toulemonde, et autres histoires, Eric-Emmanuel Schmitt, Édition Albin Michel, 2006.

mardi 20 mai 2008

HAHAHAHAHAHAHA!!!!

J'ai eu 89% dans un examen final dont je n'étais même pas certaine de passer, au moment ou je l'ai fait. La vie est une pute, mais avec un sacré sens de l'humour, tout de même.

Mais qui l'eut crû!!!!

Pour la première fois de ma vie, j'ai 20 ans.

...

et je me sens déjà désœuvrée.

mercredi 14 mai 2008

Edit sur le dernier post avant celui-ci, sur l'avortement

eh oui, des notes de bas de page niaiseuses comme ça, ça ne peut provenir que d'un devoir de philo 103!! oui oui, mon DERNIER DEVOIR de philo! j'en suis toute émue!

la légalisation de l'avortement, une question philosophique

L’avortement a toujours été un sujet épineux, comme en témoignage la ‘guerre’ engagée entre les militants pro-vie (contre l’avortement) et pro-choix (pour l’avortement). Beaucoup de pays ont d’ailleurs encore une loi visant à empêcher les femmes d’avorter. Quant à un certain nombre d’autre, l’avortement est légalisé, mais uniquement si la santé de la femme ou du fœtus. Donc, si la femme ne désire pas d’enfant, pour n’importe quelle raison personnelle, mais que ni elle ni son bébé est en danger quant à la santé, elle devra malgré tout continuer sa grossesse à terme. Finalement, quelque pays ont tranché et conclu que l’avortement était un droit que la femme avait, peu importe les raisons invoquées.

En ce qui concerne le Canada, la bataille fut longue, mais le 23 janvier 1988, la Cour Suprême du Canada a tranché, et l’avortement est légal, sans restriction juridique. Mais il faut se mettre dans la situation pour mieux comprendre cet événement. Jusqu’en 1969, l’avortement a été illégal au Canada. Après cette année fatidique, le Canada fit un pas dans la modernité, en acceptant l’avortement, seulement si la grossesse représente un risque au niveau de la santé. Cette considération se faisait comme suit : un conseil de trois médecins, dans un hôpital devaient ensembles décider si la grossesse ou non était dangereuse et tranché en faveur ou non, de l’avortement. Malheureusement, le terme santé n’ayant pas été bien décrit, on distinguait des inégalités tout dépendamment des régions. Ainsi, certains hôpitaux étaient très permissifs, alors que d’autre étaient beaucoup plus sévère. En 1988, le docteur Henry Morgentaler a intenté une poursuite contre l’État, afin de légaliser l’avortement sous toutes ses formes. Et le 23 janvier, la Cours Suprême du Canada tranchait en faveur de Morgentaler, en modifiant la loi 251 afin de légaliser l’avortement. Depuis ce jour, n’importe quelles Canadiennes, peut importe ses raisons, peuvent se faire avorter.

Malgré tout cela, tout le monde n’est pas content et on se pose encore la question si la légalisation (ou décriminalisation) de l’avortement est une bonne chose. Si l’on regarde d’un point de vue philosophique, ont voit que la philosophie de Kant se range du côté des militants pro-vie et que la philosophie libérale se range dans le camp des pro-choix.

KANT

On peut considérer Kant comme pouvant être un potentiel pro-vie[1]. Celui-ci a établi un principe, soit celui d’universalisation. Celui-ci a pour idée que si nous voulons faire une action (d’importance, généralement) nous devons nous demander si nous voulons que ce principe soit universel. Ce principe doit se conformer à trois règlements et si l’un d’elles ne répond pas, nous pouvons considérer que cette action n’est pas morale. Nous allons regarder l’avortement uniquement au travers des trois règlements, mais dont deux, fait de manière conjointe. Les deux premières, qui seront examinés ensembles, sont : l’universalisation de l’action rendrait entraînerait l’action impossible et l’universalisation de l’action entraîneraient la destruction de l’humanité. Nous faisons ces deux règlements uniquement parce que répondre à la première, c’est la réponse à la seconde. Alors, si nous rendons le principe de l’avortement universalisable, c’est dire que toutes les femmes pourrait vouloir se faire avorter. Bien que cela paraisse à proprement dit impossible, toutes les femmes ne pourraient pas vouloir toujours et à chaque fois avorter, pour les besoins de la cause, nous allons faire comme si. Donc, si toutes les femmes voulaient avorter, ce principe deviendrait irréalisable puisque si toutes les femmes veulent avorter, nous pouvons considérer qu’il n’y aurait plus de grossesses. De ce fait, nous pouvons considérer que l’avortement, lorsqu’il est rendu à l’état universalité devient donc destructible pour la planète. L’humanité se détruirait lui-même au travers de l’avortement, en ne permettant pas la continuité de l’espèce. C’est donc en se sens que la première réponse répond également à la deuxième. Le principe devient irréalisable puisqu’il entraîne de ce fait la destruction de l’humanité


Ensuite, nous pouvons considérer la troisième requête du principe d’universalisation, soit que l’universalisation de l’action irait à l’encontre des intérêts fondamentaux de tout être raisonnable. Si l’on regarde les deux principes déjà énoncés plus haut, nous pouvons considérer que l’action d’universaliser l’avortement ne serait en aucun cas raisonnable. Tout être doté de raison et l’utilisant avec justesse sait que nous devons perpétuer la race humaine, sans quoi l’espèce humaine s’éteindra. C’est un devoir que nous avons de faire en sorte que la race humaine continue d’exister au-delà de notre vie propre. Par conséquent, l’universalisation de l’avortement serait rejetée par n’importe qui ayant un peu de bon sens. Nous pouvons donc conclure que, suivant son principe d’universalisation, Kant se serait opposé à cette pratique, d’où la raison pour laquelle nous pouvons le considérer comme étant un possible partisan du mouvement pro-vie et serait donc contre la légalisation de l’avortement.

LIBÉRALISME POLITIQUE

Quant un libéralisme politique, nous pouvons les considérer comme étant des pro-choix. Donc, pour eux, l’avortement est davantage une affaire personnelle que criminelle. Nous pouvons résumer l’opinion libérale comme suit : Chaque femme a le droit de faire ce qu’elle veut de son corps et de sa vie. Nous pouvons néanmoins diviser ce raisonnement en deux explications. La première est que l’État doit être au service des individus, et non l’inverse, car la fonction fondamentale de l’État est de protéger les droits des individus. Si l’on prend en considération que l’État[2] doit protéger ses citoyens, il est déraisonnable de penser que l’on doit contraindre une femme enceinte d’une grossesse non désirée (peu importe la raison). En effet, on peut considérer cela comme étant une atteinte à son droit à la vie, à la liberté et à la sécurité de la personne. Donc, étant donné que l’État se doit de protéger les droits de ses citoyens (incluant ceux des femmes), il se doit de ne pas interdire l’avortement, puisque c’est contraire à ses principes de protection assurée des droits de ses individus. Évidemment, certain diront que l’enfant à naître à également droit à la vie. Sauf que l’État canadien considère qu’une personne a le droit à la vie dès qu’il est né et pas avant, puisque alors se serait nier les droits de la mère, étant donné que l’avortement serait considéré comme étant un meurtre. On renierait donc un fois de plus les droits de la femme enceinte à la liberté, à la vie et à la sécurité, ce que l’État libéral ne veut en aucun cas.

Ensuite, il serait intéressant de se poser la question si l’avortement est une action au niveau personnel ou public. Si l’on commence en prenant considération que l’avortement est une question personnelle, il faut savoir que l’État doit limiter ses interventions sur la sphère publique et s’abstenir d’intervenir dans la sphère de la vie privée. Ce que cela veut dire, c’est que si on dit que l’avortement est une question d’ordre privée, l’État ne doit pas intervenir et interdire cette pratique, puisque selon le libéralisme politique, l’État n’a aucun droit dans la sphère privée. Par conséquent, l’État ne peut criminaliser un acte qui est personnelle à la personne, généralement la mère. Mais si l’on considère, par contre, que l’avortement est d’ordre public, par exemple, en invoquant les raisons d’universalisation de Kant mentionné plus haut, voulant que l’avortement entraîne la chute de l’humanité, l’État ne pourrait pas davantage criminaliser l’action. En effet, en partant du point que l’État doit le moins possible limiter ses interventions dans les affaires publiques, et qu’en plus, l’État se doit de protéger les droits et libertés de ses individus, il serait contraire à ses devoirs s’il criminalise l’avortement. Effectivement, comme mentionné plus haut, l’avortement serait un piétinement total des droits et libertés de la femme/future mère. Par conséquent, l’État se doit d’être pro-choix et d’accepter l’avortement comme étant légal, et ce, peu importe l’opinion de ses dirigeants[3].

MOI

Quant à moi, je suis une militante pro-choix. Mon idée s’accorde donc avec celle du libéralisme politique. Je considère que peu importe la raison pour laquelle une femme veut avorter, c’est avant tout une raison personnelle. On ne peut s’y opposer, c’est avant tout une décision unique à la personne concernée, soit uniquement la future mère. Il est évident que l’avortement est un choix difficile à faire et à accepter. Pourtant, depuis la légalisation de l’avortement en 1988, on peut voir qu’il n’y a pas eu de montée spectaculaire d’avortement pratiqué au Canada. D’autant plus que nous pouvons nous considérer comme étant tout à fait dans la moyenne mondiale. Également, dans 50% des cas, il y a avortement parce qu’il y a eu une défaillance des moyens de contraceptions. Donc, lorsqu’on parle d’avortement, il ne faut pas monte sur ses grands chevaux. De tout temps, il y a eu des avortements, légaux ou non. Ceux qui les pratiquaient étaient nommés comme étant les faiseurs d’anges. Et ces avortements n’étaient pas toujours sécuritaires. Donc, la légalisation de l’avortement, non seulement garantis les droits de la femme, mais en plus, lui garantit un avortement sécuritaire, pratiqué par des médecins spécialisés et dans un endroit sanitaire et adapté, avec tous services requis en cas de complication.

Finalement, la légalisation de l’avortement au Canada reste encore et toujours un sujet épineux. Les partisans du mouvement pro-vie peuvent évoquer Kant et son principe d’universalisation, donc que si l’avortement devient un cas général, il y aurait une destruction de l’humanité. Mais quant à leurs opposants (dont je fais partie), les pro-choix, ils peuvent évoquer les droits de la femme à la liberté, la sécurité de sa personne et à la vie. Malgré tout, il faut savoir qu’il est difficile de juger une femme qui se fait avorter sans se mettre dans sa situation. Et étant donné que chaque situation est différente, on ne peut, en toute justice, que légaliser l’avortement afin que toutes les femmes soient égales.



[1] Il faut se rappeler qu’il est mort, donc qu’il n’a plus d’opinion.

[2] Car lorsqu’on parle d’avortement, il est toujours question d’État et de ses lois.

[3] D’ailleurs, il est inquiétant de considérer que présentement, le parti conservateur essaie de remettre en question la légalisation de l’avortement. Le Canada ayant une politique libérale pourtant, on ne peut que s’inquiéter de ces tentatives rétrogrades qui va à l’encontre des droits de la femme.

Emily Jane White - wild tiger I have know



Voilà une artiste que je viens de découvrir depuis peu. J'aime beaucoup sa voix texturé et l'ambiance feutré de ses chansons. Elle me fait penser à Cat Power, en ce qui concerne sa voix, mais en plus doux. Magnifique.

Ah çà...

Il faut bien se l'admettre. Le concept de Note de bas de page dans le programme Microsoft Words est tout simplement l'invention du siècle.

mardi 13 mai 2008

Changement de style

Là, j'hésite. J'ai toujours eu un faible pour le vert et ses pommes, mais peut-être que ce blog convient mieux pour du rose. Même les 2 tites photos semblent aller vers le rose.
Vous me direz vos impressions.

m'enfin bref. d'ici bientôt, je commence à publier Noce de Cuir. Dès que cette putain de session est fini, promis.

lundi 12 mai 2008

La vie est une pute, épidode 4 825

Tannée d'une session qui ne finit plus,
Tannée d'une personne harcelante,
Tannée d'un duo horripilant,
Mon amour, quand me sauve-tu?
Ah oui, seulement dans 12 jours, parait-il.



Ce n'est pas parce que mon post est dans le libellé 'mauvaise humeur' que je suis nécessairement de mauvaise humeur. non. Je suis juste BEN de mauvaise humeur.

samedi 10 mai 2008

Paraitrait-il que...

... dans mon appart, tous les murs sont recouvert de primer!!!
Joie! Joie!

vendredi 9 mai 2008

Non mais, tout de même...

... avez-vous remarqué les pub pour la collecte annuelle du diocèse de Montréal? Un église, prise de vue contre-plongé, dont on s'aperçoit que tous les vitraux et fenêtres ont été remplacé par des planches de ply-wood. Pour nous démontrer le statut précaire de l'Église, qu'on dit.
Mais est-ce que vous vous souvenez de la pub pour le diocèse de l'année passée? Une peinture montrant en gros plan le buste du Christ ensanglanté et avec, comme message 'Il a déjà donné'.

Je sais pas pour vous, mais... Culpabilité!!! C'est vraiment rien que comme ça que l'Église catholique québécoise fonctionne, faut croire...

Amélia

Cette nuit, j'ai écouté le film Amélia d'Edouard Locke et sa compagnie de danse La La La Human Steps. É-coeu-rant. Mais il n'empêche que là, je suis morte de fatigue. Ce qui est très intéressant, c'est que selon moi, on explore les relations amoureuses dans cette prestation de danse incroyable. Mais bon, je suis trop claquée pour vraiment dire ce que j'en pense, alors je vous met un extrait, celui de la première danse du film. Écoutez la musique, aussi. Magnifique, je vous le dit.


mardi 6 mai 2008

Ouééé!

De un, y'a un pauvre type méprisable qui me laisse des commentaires tout aussi méprisables. Stoppez immédiatement, merci.

De deux, y'm'reste plus que 12 dodos!!!!! ouais, la vie est so marvelous.

samedi 3 mai 2008

Les ti-canayens ont perduuus....

MON CHUM VA ENFIN SE COUPER LA BARBE ET LES CHEVEUX!!!!! ouééééé!!!
mais sinon, sur une note plus encourageante, nos habs nationaux sont déjà allé plus loin que l'année passée, alors imaginez l'année prochaine. D'autant plus que ça va être le centenaire des glorieux, donc ça serait cheap de leur part de ne pas finir avec la tite coupe Stanley, non?


...


ahahah, ouééé... je prends tout de suite rendez-vous chez le coiffeur, tien.

Je suis une baleine pathétique.

Un seul soir que je ne vois pas mon amour et je ne sais pas quoi faire. Bon, j'aurais pu aller au party de Mel... mais je suis trop claquée. Tout de même. Qu'est-ce que... mmh. Ouais, je fais dure. D'autant plus que je m'exile bientôt dans HasBeen of NoWhere...

Pis aujourd'hui, météomédia m'a menti. Y'annonçait soleil, pourtant!...

Edit: finalement, même si je ne suis pas allez au party de mel (mel, je t'aiiiime!) j'ai quand même fait autre chose que de resté assis dans mon sofa à me tourner les pouces et à me morfondre sur l'absence de l'amour de ma vie. ET, note à moi-même. ne jamais sortir dans les bar-café-resto-etc-n'importe ou il y a une tv, le soir de match de hockey.

Eeh.

J'ai (parfois) des commentaires bizarres.

d'autant plus que le com' bizarre a l'air de provenir de quelqu'un de ma connaissance, mais je ne sais pas c'est qui. Je suis extraordinaire. Ouais.

vendredi 2 mai 2008

La Passion, selon Sainte-Moi

Selon moi, la passion, c'est de la merde. Attention. Je ne dis pas qu'il ne faut pas de passion, plus jamais, never, absolutly never. Je dis juste que c'est de la merde, et que donc, il ne faut pas se baser dessus.

Selon moi, la passion est quelque chose d'éphémère d'évasif, de vaporeux. Et c'est ce qui fait son charme. (car oui, j'aime beaucoup la passion) La passion, parcontre, ça a pas le bénéfice de construire une vie dessus. La passion, c'est la passion. Et la passion, ça ne devrait pas durer.

Jamais.

Je m'explique.

À mon avis, la passion est un sentiment fort, intense, qui agit comme une sorte de catastrophe. La passion -généralement- il y en a en-veux-tu-en-v'là au début d'une relation. Le début d'une relation, c'est toujours passionné. On ne peut plus se passer de l'être aimé, on lui saute dessus dès qu'on le voit et (attention, je suis crue) on mouille en dedans de deux ou on se dresse comme un caporal dès les toutes premières effluves annonçant la venue de l'être (nouvellement) aimé. La passion, c'est intense, torride. La passion, c'est quand l'autre devient ton oxygène. La passion,... c'est la passion.

Mais est-ce que vous vous imaginez sincèrement vivre dans un amour passionnel le reste de votre vie? Un amour intense, fulgurante, aussi fort qu'au premier jour? (c-à-d, que dès sa seule vue, vous voulez lui sauter dessus et lui faire sauvagement l'amour tout de suite, même si c'est en pleine rue?) C'est que... voyez-vous, la passion, ça a de ça aussi que c'est particulièrement épuisant. Lorsqu'on vit dans la passion (et tout les amis de personnes nouvellement en couple passionnés me le confirmeront) vous n'avez qu'un seul sujet, l'autre. Qu'une seule image en tête, la face de l'autre. Qu'un seul but, voir l'autre. Qu'une seule ambition, sauter l'autre éternellement. La passion fait en sorte que vous vous éloignez de vos amis, que vous êtes incapable de fonctionner normalement, tout à la pensée de l'autre, incapable de sociabiliser (étant donner que les autres, c'est pas l'Autre), etc. La passion fait de vous un être particulièrement no-life.

Donc. La passion, c'est de la merde. Mais on s'entend! La passion, c'est bien, mais au début d'une relation, à certain moment fort, au moment de faire des pirouettes acrobatiques dans le lit, etc. Mais tout le temps? Nah.

Entre-temps, il faut qu'il y ait cette autre amour. Le vrai amour. L'amour qui dure, l'amour confortable, l'amour résistant contre les intempéries. Bref, l'amour Black & Daker. Cet amour-là, c'est la base d'une vie commune. C'est pas la passion, puisque la passion est éphèmere. La chute sera aussi longue que fut haute sa montée, qu'on dit. Ben justement. Parce que veux-veux pas, la passion, ça dure jamais. Parce que quand il n'y a que de la passion, y' pas d'amour Black & Daker. Et quand il n'y a pas de cet amour-là, le jour ou on s'aperçoit que l'autre pète dans son sommeil, la passion prend le bord assez rapidement.

Parce que, soyons honnête. La passion, au début, c'est bon. Mais la passion n'accepte que la perfection, autrement dit, l'illusion de la perfection. Tandis que, justement, l'amour Black & Daker, cet amour-béton, apprécie ces petites imperfections. C'est ce qui fait que quand on entend un *prout!* la nuit, on sourit, parce que l'être aimé est à nos côté.

*Message à mon compioutère de merde*

Je ne comprends pas le langage bip-bip. Alors cesse de bipbiper tout le temps.

Aussi, message à mon anti-virus de fou: T'es pas obligé de faire une mise à jour automatique à toutes les 5 minutes, merci.

Nah, je suis pas addict...

Dadi dadi dou-dou

Vous l'ai-je déjà dit? Je hais mon ordi.

Mais! changement radical de sujet:

J'AI ENFIN SIGNÉ MON *PUTAIN* DE BAIL!!!!!! wouhou!
On n'imagine jamais le soulagement de savoir ou on vas habiter d'ici 2 mois. Dans tous les cas, je déménage officiellement à St-Jean city on the river Richelieu le 24 mai au soir. *Joie! Joie!*

mardi 29 avril 2008

La vie est une pute, épisode 4 823, mais pas pour moi.

Hier, après mes cours, je suis allez me tapez une petite bouffe de sushi au Shizo Sushi, sur St-Denis, puis après, j'ai été voir le film Caramel, qui est super bon, une collaboration Liban-France. Ça faisait longtemps que je n'avais pas été voir au vrai bon film.

Et entre temps, j'ai ramassé une grosse guenille puante et toute mouillée, alias une de mes meilleures amies. C'est pas beau quand les gens qu'on aime sont dans le c***a.

Oh, et grosse new: J'AI ENFIN MON APPART!!!!! je vais signer le bail demain, ouééé!

Mes vêtements et moi.

Dans ma vie de tous les jours, je ne représente pas exactement l'image de la femme sexy et féminine. Eh non.

samedi 26 avril 2008

Talons Hauts et Bouette de Vache

Si tout va bien, d'ici la fin du mois de mai, ce blog ne sera plus la vie estudiantine d'une straight en ville, mais plutôt les hauts et les bas d'une banlieusarde bo-bo* en région.



*
bourgeoise et bohème

vendredi 25 avril 2008

Une question de point décimal. si, si!

De dire que ce blog est vraiment illustrement inconnu, j'arrive à le dire, voire même le comprendre et ce, malgré ces 2 extraordinaires commentaires reçus récemment. (je dis extraordinaire parce que, hein, ça sort effectivement hors de l'ordinaire...) Mais, si l'on calcule 1 lecteur (voire même 2, qui sait, hein, l'espoir fait vivre) il y aurait au moins 360 visites sur mon profil de trop. Je dis 360, hein, parce quand je regarde combien je suis populaire (et qu'après mon orgueil saigne et que je vais vite me réfugier en petit moton dans le fond de mon garde-robe) ça compte toujours un coup. Donc on peut considérer que je suis allé me voir au moins une bonne dizaine de fois, donc 10 de moins... bref! je ne suis pas en littérature pour rien, je me perds dans mes calculs. M'en tout cas. ça donne à peu près 360, puisque 377 moins 2 (oué!) moins une dizaine grosso modo égale 360 à peu près.

Donc, selon ma calculatrice du fameux compioutere qui renaquit récemment, j'ai, en 15 mois d'existence, en moyenne 25.33 visites par mois. Donc y'a en moyenne 25. 33 personne qui vienne perdre son temps sur blog? Ouah. Je n'aimerais pas être la 0.33 personne, moi...

Nous pondons des oeufs et couic, couic ils sont doux...



un grand classique. ahah! (non, je n'ai rien de mieux à faire à 23h 48, surtout pas faire un truc aussi banal que dormir quand je me lève le lendemain à 6h 30...)

mercredi 23 avril 2008

Un Slam Inégal

Le jeu du Grand Slam
12h à 13h 30

Durant la semaine de la citoyenneté, nous avons eu une prestation d’un art et qui, de plus en plus, fait sa place dans le milieu artistique du Québec. Nous parlons du Slam, art déclamé qui nous provient de New-York est un art déclamatoire, une sorte de poésie fracassante lancée face au public. Nous avons pu voir ce mardi, durant Le Jeu du Grand Slam, six slammeurs déclamer leur poème. C’est une sorte de compétition, généralement en deux rondes.

Ce slam a commencé sur une mauvaise note. Quelques slammeurs, la peur au ventre, ont refusé de se présenter. Résultat, le temps de la prestation se trouvait quelque peu diminué. Évidement, ne connaissant pas les textes de ces couillards, il m’est impossible de dire si la qualité du spectacle s’en trouvait remonté ou non.

Tout d’abord, tout au long du spectacle, nous avons pu observer la présence tout à fait intéressante de Mario Cholette. Investigateur, avec Tréveur, de cette prestation et lui-même grand slammeur sur la scène montréalaise, il a pu nous livrer deux morceaux de sa poésie. Les textes étaient bon, bien dit, bien clamés. Ensuite, il se fit lui-même le poète sacrifié, ce qui lui permit d’animer la présentation du slam. De la sorte, nous avons pu assister à la prestation de Charles Dansereau (1e place), de Tréveur Prétuziello[1] (2e place), de Carolane Naud (3e place), de Jessica Legault, d’Alexandre Turcotte et finalement de Geneviève Roberge.

Évidemment, nous avons eu une présentation de slam étudiant. Ainsi, nous avons pu observer la gêne et le stress que cela génère sur certaines personnes. Par exemple, Carolane Naud, qui a raflé la troisième place, a très bien dit son texte, mais avant et après l’avoir dit, nous avons eu droit à ses élans de midinette timide, avec des rires hauts perchés et des mimiques ridicules. Cela ressemblait davantage à un oral dans un quelconque cours plutôt que d’une réelle prestation. De plus, il y avait de la part de certains participants un manque flagrant de préparation. C’est-à-dire que, il n’est pas interdit de ne pas apporter son texte sur scène, mais lorsqu’on ne le connaît pas, ça évite des blancs de mémoires inutiles comme ceux de Geneviève Roberge. De plus, une juste et bonne préparation nous aurait également évité le calvaire que nous a infligé la jeune Jessica Legault, qui nous a récité un slam à une vitesse infernale avec une voix plus discrète que celle d’une souris. Je serais bien en peine de dire si oui ou non le texte était intéressant, puisque, à la deuxième rangée, on n’entendait déjà plus ses paroles.

Fort heureusement, nous avons tout de même pu avoir d’excellant slam, interprété par Tréveur, Alexandre Turcotte et Charles Dansereau. Ce fut un pur divertissement de les écouter scander une poésie rythmée, avec un excellant choix de mots nous assurant une musicalité sans pareil. Évidement, ce fut pour certain un choix de sujet assez lourd, comme dans le premier texte de Dansereau, nous parlant de son besoin d’une certaine ‘Adèle’, ou bien également le premier de Pétruziello, nous parlant de la misère de la reconnaissance des poètes (slammeurs?). Mais en bout de ligne, nous avons finalement eu un texte un peu plus ludique, sur les aventures d’un matou roux, par Danserau, ce qui lui a assuré une première place bien mérité.

Finalement, Le Jeu du Grand Slam fut une prestation quelque peu inégale. Nous avons pu voir des prestations éclatantes, comme celle de Charles Dansereau (mon coup de cœur) et d’autre plus navrante, comme celle de Jessica Legault. La mise en scène était sobre, laissant place à toute l’énergie déployée par les participants. Aussi, dernière mention, que je donne à celui qui s’occupait de la musique et dont je n’ai pas pu savoir le nom, nous a offert des intermèdes musicales urbains, tous plus excellant les uns que les autres.
[1] Investigateur d’une ligue de slam au cégep du Vieux-Montréal

mardi 22 avril 2008

joie, batard!

Devinez quoi... mais oui, comme la tradition le veut, à chaque fin de session, alors que c'est le pire temps de l'année, mon ordi plante. Autrement dit, j'ai 43 millions de devoirs à faire et pas de putain de compioutère sur qui travailler. Moi, je vous le dit: la vie est une pute.
Edit: ben, devinez quoi! l'horreur a décidé de remarcher! Je le dis en directe du compioutere! rholàlà...

Dialogue avec ma mouman

Moi: Mouman, ça te tente-tu d'aller chez Botanix?
Mouman: C'est pourquoi tu veux aller chez Botanix?
Moi: Ben, m'acheter une motte de fleur, ç't'affaire!

lundi 21 avril 2008

Les Canadiens vont peeeeeeeeeeerdre!!! (et mon amour va donc se faire une nouvelle coupe de cheveux, j'en suis sûûûûûûre!)

On se sent toujours très fière lorsqu'on découvre par soi-même comment faire des notes de bas de page sur Word Office. Pis après, ben, on en mets partout!*
* d'autant plus que ça fait beaucoup plus sérieux et intelligent.

Ce qu'est une lamelle de récit, selon Kafka

Il est toujours bien difficile de faire une recherche google sur quelque chose dit par un prof, mais qui, de toute évidence, n’existe pas. Ainsi, une lamelle de récit est probablement qu’une jolie invention, une torsion de la réalité qu’un prof, en mal de matériel existant à enseigner nous a dit, accolant cette invention à un pauvre écrivain innocent, en l’occurrence Frantz Kakfa qui, lui, n’avait pourtant rien fait pour être traité de la sorte.

Mais là où le bat blesse, c’est lorsqu’une stupide étudiante, prise avec un stupide projet de fin de session/DEC se retrouve avec la nécessité de lier sa technique d’écriture1 et qui doit trouver des auteurs ayant des ressemblances avec son écriture. Écriture caméléon, ne surgissant et surtout, ne se terminant qu’avec un coup de pied au cul et un dead line approchant dangereusement, il se trouve qu’elle ne fut jamais réellement influencée par des auteurs dignes de ce nom. Par conséquent, n’osant suggérer que la seule 'influence' se trouve à être Marie Laberge2, se retrouve donc en mode recherche d’influences ‘supposées’.

Lamelle de récit : « Ah tien, ça ressemble aux textes que j’écris sur mes persos, sans rapport avec l’histoire, avant même d’écrire le récit en tant que tel. Ah wow, c’est Kafka en plus, ça fait sérieux. »
Recherche : « Ah putain, je me suis faite niaisée, ça existe même pas. »

1- rien qu’à l’écrire, je suis prise d’une crise d’hilarité
2- auteur honni du Cégep par tous les profs de littérature dignes de ce nom

samedi 19 avril 2008

Question: Qu'est-ce que j'hais le plus dans mes cours de français?

Réponse: Analyser, bâtard, analyser...

Clip clop



non, je ne suis pas tombée sur la tête

vendredi 18 avril 2008

Comment je m'arrange pour stresser encore plus

Je suis une horrible grosse saleté puante de paresse.
Malheureusement, se l'avouer arrange rarement les choses. Résultat, ce soir-ci n'a pas été plus productif que les autres...

mardi 15 avril 2008

Nostalgie d'un temps révolu

J'ai été toute étonnée, lorsque tantôt j'allai sur mon email, afin de confier mes dérisoires inquiétudes à propos d'interligne 0.5 ou double, à un professeur qui s'en tape probablement, et que je vis, dans mon courrier indésirable, un message provenant de facebook, m'indiquant qu'une de mes plus chère amies de mon secondaire 1 et 2 (polyvalente Georges-Vanier, Laval) venait tout juste d'être contaminée par l'infection fessboukien et, par extension, venait de me retrouver sur le site.

Ça m'a fait tout chaud au cœur...

Confession

J'ai toujours eu l'air d'une idiote un peu greluche; la bonne humeur donnant rarement une image d'intelligence.

Le pourquoi je ne fous rien ce soir (et les autres soirs)

On ne soupçonnera jamais la quantité de paresse qui sommeille en moi. C'en est légendaire.

En attendant, voilà quelque chose d'autre dont on n'aurait jamais soupçonné venant de moi: Go Habs Go! rien qu'une tite dernière et les deuxièmes séries! (le hockey m'endormant particulièrement, ça m'assure des samedis terriblement relaxant...)


lundi 14 avril 2008

histoire d'appart

salière, poivrière, serviette à mains... la liste s'amenuise, oh yeah!

vendredi 11 avril 2008

Les carnets de Monsieur Manatane



À noter.

Histoire de cire à épiler

Malgré la journée plus automnale que printanière, je sens malgré tout l'appelle féroce de l'esthéticienne. Le règne du Sauvage & Naturelle tire à sa fin.

mercredi 9 avril 2008

Le sentez-vous, hein? hein?

L'ÉTÉ S'EN VIENT!! oui! ça le sens, dehors, l'estivalité, les terrasses, les mini-jupes, les robes bains de soleil, les maillots, les punch d'été, les piscines, les tam-tam, les festivals... AH! oui, l'été s'en vient bel et bien. Et si météomédia annonce de la pluie en fin de semaine, eh bien, ce sera une pluie estivale! C'est-y pas merveilleux, ça?

mardi 8 avril 2008

Don't worry, be happy (Bobby McFerrin)



c'est pas parce que je l'écoute une trentaine de fois en boucle que je suis addict à cette chanson. loin de là.

Je dois être bipolaire

Y'a des moments ou je suis super joyeuse et la minute d'après, je veux juste tabasser les gens. Alors donc, je pose mes conclusions.

...

ah, mais non, c'est juste mes spm, i' parait.

lundi 7 avril 2008

SUNSHIIIIIIIIIINE! You come back!

Ça a une petite odeur dans l'air qui ne trompe pas, l'été s'en vient.
Oui oui, on ne peut plus se le cacher, l'été vient (enfin) faire son tour. Y'était temps. Preuve indéniable, le nombre de ti-gars en short a fait un bond vertigineux depuis le début avril. En plus, j'ai essayé TOUTES mes jupes, et ça, ça ne trompe pas. J'ai vu toutes les petites modifications à faire sur mes robes (tiens donc, depuis l'année dernière, j'ai maigrie???) et mercredi, je les envoies direct à la couture.
Dehors, ça sent encore la vieille doritos moisi sur la rue Émery à Montréal, mais je suis prête à endurer tout, afin que l'été vienne me réchauffer le petit mou de cuisse. D'ailleurs, en parlant de cuisse, au moment ou j'essayais mes jupes, je me suis (hélas) rendue compte que celles-ci ressemblait davantage à de gros jambons blanc plutôt qu'à des cuisses sexy et estivales.

Finalement, pour répondre à la question si j'ai de quoi à écrire ces temps-ci, la réponse est largement non.

vendredi 4 avril 2008

On dépoussière le blogounet, missbarnik fait une aparition.

Voilà, je sors de mon silence de fin de session pour vous dire que j'ai trouver un site vraiment hot, ça s'appelle Desseins. C'est comme une revue faite par des filles, mais ABSOLUMENT PAS nunuche, je vous l'assure. Je le mets dans mes barniks links, il faut vraiment que vous passiez voir, c'est un incontournable. (selon moi)

En attendant, quelques nouvelles sur ma quête désespérée de me trouver un *** de *** d'appartement dans la région de St-Jean sur Richelieu. Pardonnez le langage vulgaire, mais c'est de la marde (notez l'italique pour accentuer). Y'a aucun 4 et demi de potable. Et pourtant, mon amour et moi on est pas difficile, on veut juste que ça soit PROPRE. C'est tout. Pis, ben, c'est ça. Pour vous donner une idée, y'a pas de bail de signez. Je deviens de plus en plus un paquet de nerf, une vraie petite boule de stress sur le point d'exploser. J'aime pas ça.

http://desseins.fanzine.free.fr/


mardi 1 avril 2008

Irises after Van Gogh - Vic Muniz

Il arrive des moments dans la journée où l’on se sent jaune. La jaunisse nous prend. Non pas l’idée de la maladie, mais cette espèce de folie qui nous prend, d’un peu partout du corps, entortillant les ficelles de notre esprit pour nous consacrer à cette espace Jaune qui se développe au-delà de notre cerveau, juste derrière, là, sous la nuque.

Cette espace jaune, sous ce soleil éblouissant nous donne une impression d’auréole et immédiatement, dans ce sentiment jaunesque, on se sent vêtu d’une illumination mystique, la gestuelle devient scénique, on se trouve douze comparses et la dernière Cène se joue. C’est le jaune qui envahie, un vin blanc, s’il vous plait! Le sang du Christ, loin d’être rouge, ou bleu (si l’on se réfère à l’idéologie noblastique de ces grands de France) est plutôt… couleur de blé. Le grain coule dans nos veines, puisque nous sommes faits à l’image de dieu. Oh, pardon : Dieu.
L’idée du moment jaune, derrière la nuque, peut être amplifiée par cet autre élément, plus perfide, plus menteur : Le bleu.

Le bleu est une couleur complémentaire du jaune, faisant en sorte, selon les décorateurs intérieurs, ressortir une égalité que l’œil appréciera. Mais ne nous laissons pas prendre par ce charabia esthétique oh combien trop rationnalisé. Le bleu envahie l’espace et emmène avec lui, puisque c’est une couleur sociale, le froid intense de looong mois d’hiver dépressif où, dans la recherche de maigre réconfort printanier, le plus petit réchauffement planétaire est le bienvenu, voire même, souhaité. Nous ne comprendrons jamais que ledit réchauffement est déjà dans notre hiver vraiment trop froid.

Non, décidément, le jaune est repoussé par ce bleu, un peu ciel, on ne sait pas trop. Ce jaune (pauvre de lui) doit migrer vers un endroit moins confortable, et un peu plus gênant. L’intérieur du coude.

Tout le monde le sait, l’intérieur du coude est un endroit peu recommandable. On peu y trouver de tout. C’est parfois une nuque inconnue, qui fait obstruction à la lumière, ou même un dos détestable de largeur. On peut également y retrouver nombre d’objets indésirables et incommodant à la pousse des iris hivernaux. Car comme on le dit, les iris hivernaux, ça pousse là où ça pousse, mais pas là où il y a des pommes de terre. Ce vieil adage dit tout, le sujet est clos.
Le jaune, retranché dans cet endroit peu accueillant (et ma foi, fort humide par les temps qui court) se retrouve tranquillement transformé en couleur moutarde, vibrante par les tons foncés qui bouillonnent dans sa composition. Mais peu à peu, ce moutarde se fait dominer par ses sombres passions beiges et blanc coquille d’œuf. Ah! Il disparaît, là!

Et voilà qu’on entend rire le bleu, un peu turquoise, un peu marine, mais bien ciel, toujours caché sous la nuque. On comprend alors que l’été sera pluvieux, cette année.

texte automatique d'à partir de la toile Irises after Van Gogh, par Vic Muniz.
Exposé au Musée d'Art Contemporain de Montréal

mercredi 26 mars 2008

Extrait de Noce de Cuir, pour donner l'eau à la bouche!

La lumière du soleil traverse les vitres du salon et va se fracasser sur les lattes du plancher, séparant Ève et Hugo d’une mare de soleil. Une plante grasse entrave la coulée de la lumière sur le coin gauche de la fenêtre. Sur le sol, ça ressemble à un petit écureuil curieux. Ève a une soudaine envie de pâtes fraîches, de citron, de proscuitto, d’asperges et de melon d’eau. C’est finalement une invasion de la cuisine, au son des casseroles entrechoquées. Un riesling est débouché et l’odeur du vin blanc envahie la pièce. Un tchin-tchin bruyant se fait entendre au milieu du rire en grelot d’Ève, alors que la table est mise pour deux.

Montée de lait

Ce matin, je me suis une fois de plus réveillée à 5h 30, alors que mon cadran sonne normalement à 6h. C'est une conspiration. En plus que finalement, mon cours était 1h 45 plus tard, hein. Alors, j'aurais pu me lever à 7h 30. Désespoir!
Normalement, je change d'appartement en juillet, juin, je sais pas. Ben voilà. Ça me tanne. J'ai hate d'être partie. En même temps, je ne veux pas trop. C'est comme un saut de l'enfance (où je me faisais chouchouter comme un bébé làlà trop gaté) dans l'age adulte. Je m'en vais pourtant sur mes 20 ans, ça s'en vient gênant.
Mais voilà aussi que je suis également en fin de DEC. J'en ai marre du cegep. Ras le ponpon de tous ces cours inutiles. Ras le ponpon de la création, de l'analyse... Pour moi, analyser un texte EN PROFONDEUR, jusqu'à vouloir savoir que pensait l'auteur au moment de l'écriture, c'est comme de la disséquation de patte de mouche. Un travail un peu trop précis et délicat pour moi. En même temps, je fantasme sur le jour où je vais ENFIN avoir de vrais théories à apprendre, pas de la boule shit de nuage vaseux, d'évaporation mystique, de flouage aux contours imprécis... J'en ai marre d'auteurs philosophiques à la noix, au style flamboyant, incroyable, minimalistique. Au bout de deux ans de cégep en création littéraire, je suis venue à ne plus écrire par moi-même (sauf sur ce blog, mais bon, hein!), à avoir un certain dégout du livre (marre, marre d'analyser!) et à dire constemment : oh non, j'peux pas le lire tout de suite, j'en ai 23 mille autre à lire pour l'école... Bref, je suis dûe pour de grooooosse vacances. Été! Été! viens! j'ai besoin de toi!

mercredi 19 mars 2008

Angele Dubeau & la Pietà - Les Beautés du Diables



J'ai toujours adoré cette pièce de je-ne-sais-plus-trop-quel-compositeur. un vrai délice pour les oreilles, selon moi.

Oh boy.

Et voilà, nous sommes maintenant officiellement un ménage à trois pour, théoriquement, les trois prochains mois. Reste à savoir si je saurai endurer tout ça sans "péter au frette" avant.
Je ne suis pas reconnue pour ma patience, en fin de session, loin de là...

mardi 18 mars 2008

Moment fort de ma journée

Bouffer du Nutella* fait maison (j'ai presque finit le *petit* pot, à l'heure qu'il est) et essayer de peut-être se forcer à se botter cul pour possiblement commencer au minimum UN devoir.

Avec un peu de chance, un miracle peut arriver. ... Ben quoi, vous ne me croyez pas?

* non, essayez pas, je ne sais pas du tout d'où provient ce petit rond de mou installé sur mon ventre depuis Noël...

jeudi 13 mars 2008

Joie de l'insomnie -Bonheur! Bonheur!

Que fais-je, que fais-je... je ne sais pas. Encore une fois, j'ai l'impression de m'enfoncer dans le marasme visqueux de mon ennui et de mon manque de sommeil. Parfois, je me dis que je serais mieux, transformée en grenouille. Je sautille, je bouffe des insectes, je me fait griller le dos au soleil, et par extension, chauffer le sang. Je ne pourrais plus m'appliquer l'expression "avoir le sang chaud" puisque les batraciens sont à sang froid. Ça serait génial. Oh, maman, dis maman, pourquoi tu ne m'as pas pondu au fond d'un marais?

Ceci dit, je suis acceptée en bac en linguistique à l'Université de Montréal. Génial. Et je ne peux toujours pas vous annoncer l'autre nouvelle (tsé, celle que j'avais vaguement éfleuré, y'a un bout... me semble) parce que, RIEN NE BOUGE! et voilà. Y'a pas à dire, s'il existe quelque chose que j'hais au plus pas possible, c'est bien d'avoir l'impression de stagner sur place. Je vais bientôt prendre racine!


Oh et puis. Je vous avais déjà fait part de mon manque aigüe de chlorophylle, et bien, c'est passé à l'étape numéro 2. Je ne fantasme plus sur mon amour, mais la simple allusion à un gazon fraichement coupé, au doux clapotis de la piscine, à un sex on the beach bien glacé et au ultra-mini-bikini qui l'accompagne, et voilà, je ne me peux plus. Coco d'Amour, voilà, je te l'annonce par l'entremise de ce blogue illustrement inconnu, tu viens de passer en 2ieme dans ma longue liste de fantasme. Je t'aime pareil.

Parce que je n'ai rien de mieux à faire que de vous envoyé des ti-vidéos

mercredi 12 mars 2008

The Best Site Of The Years (or of the season)

MétéoMédia!!!


Non mais, c'est quand est-ce que la température va ENFIN se décider à arrêter de descendre et soudainement comprendre qu'elle est pas loin de -20 degré trop bas? Yé sensé faire une moyenne de 2 degré dehors, pas -17!!!

Pis pus de neige, aussi, siouplait. Y'en a marre, à la fin, BATARD! L'idée du réchauffement climatique et ses bouleversements climatiques itoo n'auront jamais aussi bien pris son sens. Pis avez-vous remarqué que pour les prévisions "14 jours", yannonce TOUT PLEIN DE NEIGE!!

ARG!

Question: Quoi tu fais, là? (mon amour)

Réponse (de moi): "Je regarde le temps passer; je n'en ai pas assez pour travailler, mais j'en ai trop pour suffisamment m'ennuyer.


Edit: Sur mon com-pioutère, je travaille avec Mozilla. Et quand je fais des textes (généralement poche) pour un quelconque travail de cégep, je l'écris au préalable sur Microsoft Office, avec toute la mise en page nécessaire pour le rendu (et les fautes qui restent). Ensuite, quand vient le temps de partager le petit bout de niaserie botchée que j'ai écrit au reste du monde, je fais simplement "copier-collé" de mon texte Office à mon blog, avec Mozilla. Mais voilà-ti pas que lorsque je vais voir le rendu de mon blog sur Explorer, largement correct sur Mozilla, il est (avec Explorer) tout simplement à chier. Y'a comme des codes html qui ne veulent pas bien appliquer ou je ne sais pas trop quoi. En plus que la mise en page est toute massacrée...

Moral de l'histoire? Explorer c'est nul, vive Mozilla (et non, Firefox ne m'a pas payé!... même pas une cenne!)


Re-Edit: Même en travaillant d'à partir d'Explorer, ce que j'ai fait pour ce présent texte, la mise en page est à chier. Arg! on ne s'en sort jamais!!

Re-re-Edit: Regardez, là! la mise en page est super belle! Pourquoi? PARCE QUE JE L'AI RETRAVAILLÉ AVEC MOZILLA!!!