samedi 30 août 2008

Blanche, 2002

Bon. Vu que j'ai été lâchement abandonnée par Caillou, alias l'homme de ma vie (qui n'est pas chauve du tout, on s'entend) un vendredi soir, dans une ville où je connais peu de gens (à la limite de pas du tout) j'ai décidé de louer un film. Moi, qui habituellement juge toujours favorablement les films français, j'ai eu le malheur de tomber sur une horreur, sorte de film français historique (on parle, j'ai cru comprendre, du roi soleil. Et il y a aussi eu l'apparition (ô combien désolante) de d'Artagnan(???)), le tout, à la sauce western. Cherchez l'erreur.
Bref, ce fut comme la version français-film d'époque du film américain SuperBad. J'en saignais du nez tellement c'était horrible pour l'intelligence. Et vraiment, plus j'y pense, plus les ressemblances sont frappantes, par exemple: SuperBad: fuck! fuck! Blanche: putain! ta race!
J'ai rarement vu un film aussi pitoyable. Et les dialogues... oh la vache, je crois que c'est ce qui m'a le plus traumatisée: Ça crie tout le temps (mais pourquoi? à la longue, ça irrite la gorge) et c'est un mélange désastreux des tournures entourloupées de Molière et du langage de rue parisien actuel (verlan, je crois...?) À n'y rien comprendre. En tout cas, moi, à 11h 30, je n'y ai pas compris grand chose.
Enfin, le film était nul, voilà. Et à minuit 41, j'ai droit de chialer, nah. Ah, j'oubliais. L'héroïne, là, Blanche de Péronne. Complètement folle. Si, si, c'est moi qui vous le dit. Givrée solide, même.


oh, misere, juste 1h moins le quart... la nuit s'annonce longue avant ce matin...

2 commentaires:

Unknown a dit...

Wow, merci tu viens de me sauver quelques heures précieuses de ma vie !

Mama a dit...

oui, je sais, je suis comme ça, moi: je sauve les gens.