Bref, ce fut comme la version français-film d'époque du film américain SuperBad. J'en saignais du nez tellement c'était horrible pour l'intelligence. Et vraiment, plus j'y pense, plus les ressemblances sont frappantes, par exemple: SuperBad: fuck! fuck! Blanche: putain! ta race!
J'ai rarement vu un film aussi pitoyable. Et les dialogues... oh la vache, je crois que c'est ce qui m'a le plus traumatisée: Ça crie tout le temps (mais pourquoi? à la longue, ça irrite la gorge) et c'est un mélange désastreux des tournures entourloupées de Molière et du langage de rue parisien actuel (verlan, je crois...?) À n'y rien comprendre. En tout cas, moi, à 11h 30, je n'y ai pas compris grand chose.
Enfin, le film était nul, voilà. Et à minuit 41, j'ai droit de chialer, nah. Ah, j'oubliais. L'héroïne, là, Blanche de Péronne. Complètement folle. Si, si, c'est moi qui vous le dit. Givrée solide, même.
oh, misere, juste 1h moins le quart... la nuit s'annonce longue avant ce matin...
J'ai rarement vu un film aussi pitoyable. Et les dialogues... oh la vache, je crois que c'est ce qui m'a le plus traumatisée: Ça crie tout le temps (mais pourquoi? à la longue, ça irrite la gorge) et c'est un mélange désastreux des tournures entourloupées de Molière et du langage de rue parisien actuel (verlan, je crois...?) À n'y rien comprendre. En tout cas, moi, à 11h 30, je n'y ai pas compris grand chose.
Enfin, le film était nul, voilà. Et à minuit 41, j'ai droit de chialer, nah. Ah, j'oubliais. L'héroïne, là, Blanche de Péronne. Complètement folle. Si, si, c'est moi qui vous le dit. Givrée solide, même.
oh, misere, juste 1h moins le quart... la nuit s'annonce longue avant ce matin...