Depuis le début, l'allaitement la nuit est quelque chose d'assez rought. Chus fatiguée, chus pas réveillée, pis j'ai un ti-bébé vagissant dans les bras qui ne veut pas toujours se rendormir après. J'allaite donc à moitié endormis, les deux yeux dans la graisse de bines, sur le pilote automatique.
Il m'arrive donc souvent que je n'ai pas vraiment de souvenirs des tétées nocturnes. Seulement, il m'arrive parfois de me réveiller en pleine nuit, persuadée que je me suis endormie avec Penilou dans le lit. Là, c'est la panique. Je la cherche, sous les draps, par terre, horrifiée, pour ensuite me rendre compte que ma fille dort tranquillement dans son moïse.
Être mère, c'est avoir la paranoïa dans le tapis.
Il m'arrive donc souvent que je n'ai pas vraiment de souvenirs des tétées nocturnes. Seulement, il m'arrive parfois de me réveiller en pleine nuit, persuadée que je me suis endormie avec Penilou dans le lit. Là, c'est la panique. Je la cherche, sous les draps, par terre, horrifiée, pour ensuite me rendre compte que ma fille dort tranquillement dans son moïse.
Être mère, c'est avoir la paranoïa dans le tapis.
1 commentaire:
Tétée ou biberon... le moins difficile est la tétée, toujours à la bonne température et ça , ça vaut son pesant d'or. Je connais cet état là..., je me pinçais pour me réveiller c'est un vieux truc que j'ai pris dans les bons vieux films! et ça marche!
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