jeudi 2 avril 2009

Comme quoi, hein, y'a du bon.

La grossesse a de ceci de bien que je chiale tellement de bon coeur et avec joie qu'elle m'a redonnée l'inspiration, après que deux ans d'analyses intensives d'obscurs écrivains dépressifs me l'aient coupée.

1 commentaire:

Anonyme a dit...

Tiens donc!!!! Enfin on est sorti de l`étable! Trois hourras!