On sait que le risque de mort subite du nourrisson (qui se produit généralement entre 28 jours et 1an) augmente lorsque le bébé partage le lit de ses parents.
Mieux Vivre avec notre enfant, de la grossesse à deux ans
Guide pratique pour les mères et les pères
Institution de Santé Publique du Québec
Édition 2008
p. 248
Guide pratique pour les mères et les pères
Institution de Santé Publique du Québec
Édition 2008
p. 248
AHAHAH! Maintenant, qu'on ose me contredire.
Et même le Bureau des Coroners du Québec on remis, le 6 juin 2008 un rapport indiquant qu'il était particulièrement dangereux pour les enfants de dormir dans le lit de ses parents.
D'autant plus que ça rend plus difficile le sentiment de sécurité de l'enfant lorsqu'il est seul, que le sevrage de l'enfant par rapport au co-dodo est excessivement difficile (bonjour la crise et les nuits blanches!), et aussi, selon plusieurs pedo-psychiatre, le co-dodo peut mener à un éveil (bien qu'involontaire) précoce de la sexualité chez le bébé.
Finalement, pour ce qui est des parents, eh bien, pas d'intimité et pas de bonne nuit de sommeil. Que de bons côtés, quoi!
Déjà que cette pratique me mettait terriblement mal à l'aise...
Et même le Bureau des Coroners du Québec on remis, le 6 juin 2008 un rapport indiquant qu'il était particulièrement dangereux pour les enfants de dormir dans le lit de ses parents.
D'autant plus que ça rend plus difficile le sentiment de sécurité de l'enfant lorsqu'il est seul, que le sevrage de l'enfant par rapport au co-dodo est excessivement difficile (bonjour la crise et les nuits blanches!), et aussi, selon plusieurs pedo-psychiatre, le co-dodo peut mener à un éveil (bien qu'involontaire) précoce de la sexualité chez le bébé.
Finalement, pour ce qui est des parents, eh bien, pas d'intimité et pas de bonne nuit de sommeil. Que de bons côtés, quoi!
Déjà que cette pratique me mettait terriblement mal à l'aise...
Aucun commentaire:
Publier un commentaire